Le président de la République d’Angola, João Lourenço, a réitéré son engagement ferme en faveur du respect de la Constitution nationale, écartant clairement toute hypothèse d’un troisième mandat à la tête de l’État.
S’exprimant lors d’une récente intervention publique, le chef de l’État angolais a tenu à dissiper les spéculations persistantes sur une éventuelle modification de la loi fondamentale à des fins personnelles. « La Constitution doit être respectée et appliquée dans toutes ses dispositions », a affirmé João Lourenço, soulignant que le cadre institutionnel actuel ne prévoit pas la possibilité d’un troisième mandat présidentiel.
Le président a insisté sur le fait que la stabilité politique et institutionnelle de l’Angola repose sur le strict respect des règles constitutionnelles, rappelant que la limitation des mandats constitue un principe essentiel de la démocratie et de l’alternance au pouvoir. « Il n’a jamais été question, et il n’est toujours pas question, d’un troisième mandat », a-t-il martelé, mettant fin aux débats alimentés par certains courants politiques et observateurs.
Au pouvoir depuis 2017, João Lourenço a engagé plusieurs réformes majeures, notamment dans la lutte contre la corruption, la gouvernance économique et la modernisation de l’administration publique. Dans ce contexte, il a estimé que le respect scrupuleux de la Constitution renforce la crédibilité des institutions et la confiance des citoyens envers l’État.
S’exprimant lors d’une récente intervention publique, le chef de l’État angolais a tenu à dissiper les spéculations persistantes sur une éventuelle modification de la loi fondamentale à des fins personnelles. « La Constitution doit être respectée et appliquée dans toutes ses dispositions », a affirmé João Lourenço, soulignant que le cadre institutionnel actuel ne prévoit pas la possibilité d’un troisième mandat présidentiel.
Le président a insisté sur le fait que la stabilité politique et institutionnelle de l’Angola repose sur le strict respect des règles constitutionnelles, rappelant que la limitation des mandats constitue un principe essentiel de la démocratie et de l’alternance au pouvoir. « Il n’a jamais été question, et il n’est toujours pas question, d’un troisième mandat », a-t-il martelé, mettant fin aux débats alimentés par certains courants politiques et observateurs.
Au pouvoir depuis 2017, João Lourenço a engagé plusieurs réformes majeures, notamment dans la lutte contre la corruption, la gouvernance économique et la modernisation de l’administration publique. Dans ce contexte, il a estimé que le respect scrupuleux de la Constitution renforce la crédibilité des institutions et la confiance des citoyens envers l’État.

