L’assemblée générale la MSAE tant réclamée depuis 2019 s’est tenue ce 17 septembre 2021 à Saly dans un hôtel de la place avec les délégués démocratiques élus des 42 départements du pays. Pour une première fois les délégations étaient mises dans des conditions idoines pour le déroulement des travaux qui devaient avoir lieu le 18 septembre 2021.
Mais certains plaisantins, en connivence avec le directeur général de la CMU ont trouvé le malin plaisir de vouloir saboter la tenue de cette rencontre, mettant en avant l’argument fallacieux d’un hypothétique trouble à l’ordre public non caractérisé. Entrainant ainsi le sous-préfet de Sindia à interdire sa tenue. L’assemblée générale étant souveraine, appréciant la situation a décidé de sa tenue le 17 à 20h. Ces mêmes plaisantins avaient relégué au second plan leur principale revendication première qui était la tenue à date échue des instances de la MSAE qu’ils criaient orbi et orbi sur tous les toits, car ayant étaient battus à plate couture lors des renouvellements à la base.
En accointance avec certains leaders syndicaux et des anciens caciques de la mutuelle, qui aujourd’hui n’ont aucun enfant à prendre en charge, ils ont voulu faire mains base sur la MSAE, la déroutant ainsi de sa principale mission sociale. Mais la vigilance et l’abnégation de la majorité des administrateurs ont fait capoter ce projet néfaste. D’ailleurs, c’est le moment de rappeler aux uns et aux autres que la MSAE ne doit pas basculer dans le syndicalisme mais plutôt s’inscrire dans sa noble mission qui est prise en charge de la santé de ses adhérents et de leur famille. Et cette crainte est corroborée par la tenue de leur point de presse dans le siège d’un syndicat de l’enseignement après leur déculotté de la veille. C’est la raison pour laquelle, les gens épris de cette mission, feront face à toutes sortes d’attaques d’où qu’elles viennent dont fera l’objet la MSAE pour sa pérennisation. Et voilà que ces mêmes plaisantins, attendant sagement la fin des travaux le lendemain, comme si de rien n’était, pour se bousculer devant la porte du gestionnaire pour disent-ils se faire rembourser leurs frais de missions sans se soucier de leur acte posé la veille et sans mesurer les conséquences financières d’un éventuel report de l’assemblée générale. Quels délégués?
Le DG de la CMU, s’il était conscient avec lui et soucieux de sa noble mission, à lui confiée par le président de la république, devait même accepter de présider la cérémonie d’ouverture des travaux de la 6e assemblée générale au lieu de s’efforcer à l’interdire. Mais c’est peine perdue pour lui et ses acolytes. Car face à certaines décisions illégales, la défiance reste la seule issue. Fort heureusement, la majorité des délégués présents, hormis deux pelés et trois tondus, ont pris la bonne décision. Et les résolutions issues de cette assemblée permettront sans nul doute aux instances de la MSAE de mettre en œuvre les réformes des textes et la mise en œuvre du plan de développement stratégique à l’horizon 2024 tracé par le BE. Tout autre débat sur des personnes de valeurs qui dirigent la MSAE n’est que chimère et perte de temps. Car il y a aujourd’hui plus d’adhésions que de démissions, lancées par certains leaders syndicaux en manque de crédibilité.
Fort de tout cela, l’opinion publique doit être informée de la véracité des faits et non engluée dans la désinformation que certains veulent la maintenir. Et rappeler aux uns et aux autres que l’adhésion à la MSAE est libre et individuelle et non collective, de même que la démission.
Wassalam!
Toumany Sané, administrateur de la MSAE
Mais certains plaisantins, en connivence avec le directeur général de la CMU ont trouvé le malin plaisir de vouloir saboter la tenue de cette rencontre, mettant en avant l’argument fallacieux d’un hypothétique trouble à l’ordre public non caractérisé. Entrainant ainsi le sous-préfet de Sindia à interdire sa tenue. L’assemblée générale étant souveraine, appréciant la situation a décidé de sa tenue le 17 à 20h. Ces mêmes plaisantins avaient relégué au second plan leur principale revendication première qui était la tenue à date échue des instances de la MSAE qu’ils criaient orbi et orbi sur tous les toits, car ayant étaient battus à plate couture lors des renouvellements à la base.
En accointance avec certains leaders syndicaux et des anciens caciques de la mutuelle, qui aujourd’hui n’ont aucun enfant à prendre en charge, ils ont voulu faire mains base sur la MSAE, la déroutant ainsi de sa principale mission sociale. Mais la vigilance et l’abnégation de la majorité des administrateurs ont fait capoter ce projet néfaste. D’ailleurs, c’est le moment de rappeler aux uns et aux autres que la MSAE ne doit pas basculer dans le syndicalisme mais plutôt s’inscrire dans sa noble mission qui est prise en charge de la santé de ses adhérents et de leur famille. Et cette crainte est corroborée par la tenue de leur point de presse dans le siège d’un syndicat de l’enseignement après leur déculotté de la veille. C’est la raison pour laquelle, les gens épris de cette mission, feront face à toutes sortes d’attaques d’où qu’elles viennent dont fera l’objet la MSAE pour sa pérennisation. Et voilà que ces mêmes plaisantins, attendant sagement la fin des travaux le lendemain, comme si de rien n’était, pour se bousculer devant la porte du gestionnaire pour disent-ils se faire rembourser leurs frais de missions sans se soucier de leur acte posé la veille et sans mesurer les conséquences financières d’un éventuel report de l’assemblée générale. Quels délégués?
Le DG de la CMU, s’il était conscient avec lui et soucieux de sa noble mission, à lui confiée par le président de la république, devait même accepter de présider la cérémonie d’ouverture des travaux de la 6e assemblée générale au lieu de s’efforcer à l’interdire. Mais c’est peine perdue pour lui et ses acolytes. Car face à certaines décisions illégales, la défiance reste la seule issue. Fort heureusement, la majorité des délégués présents, hormis deux pelés et trois tondus, ont pris la bonne décision. Et les résolutions issues de cette assemblée permettront sans nul doute aux instances de la MSAE de mettre en œuvre les réformes des textes et la mise en œuvre du plan de développement stratégique à l’horizon 2024 tracé par le BE. Tout autre débat sur des personnes de valeurs qui dirigent la MSAE n’est que chimère et perte de temps. Car il y a aujourd’hui plus d’adhésions que de démissions, lancées par certains leaders syndicaux en manque de crédibilité.
Fort de tout cela, l’opinion publique doit être informée de la véracité des faits et non engluée dans la désinformation que certains veulent la maintenir. Et rappeler aux uns et aux autres que l’adhésion à la MSAE est libre et individuelle et non collective, de même que la démission.
Wassalam!
Toumany Sané, administrateur de la MSAE
