« Arrêt jusqu’à nouvel ordre de la couverture sécuritaire des combats de lutte ». Ainsi est titré le communiqué de la police nationale arrivé tard dans la rédaction. Indignée par la désorganisation du gala de lutte Franc/Anna Baldé, par les violences qui ont émaillé l’événement, et surtout par la mort de Babacar Diagne, victime d’agression, l’autorité a décidé de mettre fin à la couverture sécuritaire du sport national.
« Suite à cet énième manquement du Comité national de gestion de la lutte et des acteurs impliqués, aux injonctions et recommandations à eux faites, notamment au sujet du respect des horaires, de l’évolution de la jauge et de la définition d’itinéraires offrant moins de risques de confrontations entre groupes de supporters, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a décidé de l’arrêt, jusqu’à nouvel ordre de la couverture sécuritaire des combats de lutte sur toute l’étendue du territoire national », dit le communiqué signé de la division de la Communication.
Une décision qui met tout simplement fin aux combats de lutte. « Le règlement dit que sans sécurité policière, il n’y a pas de combat de lutte », dit Moustapha Kandji, ancien promoteur et porte-parole du Cng. Les textes du Cng sont clairs sur le sujet. La sécurité policière qui est à la charge du promoteur lors des combats de lutte, est obligatoire autant pour l’arène que pour les simples face-à-face.
« Suite à cet énième manquement du Comité national de gestion de la lutte et des acteurs impliqués, aux injonctions et recommandations à eux faites, notamment au sujet du respect des horaires, de l’évolution de la jauge et de la définition d’itinéraires offrant moins de risques de confrontations entre groupes de supporters, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a décidé de l’arrêt, jusqu’à nouvel ordre de la couverture sécuritaire des combats de lutte sur toute l’étendue du territoire national », dit le communiqué signé de la division de la Communication.
Une décision qui met tout simplement fin aux combats de lutte. « Le règlement dit que sans sécurité policière, il n’y a pas de combat de lutte », dit Moustapha Kandji, ancien promoteur et porte-parole du Cng. Les textes du Cng sont clairs sur le sujet. La sécurité policière qui est à la charge du promoteur lors des combats de lutte, est obligatoire autant pour l’arène que pour les simples face-à-face.