L’administration sénégalaise est à nouveau secouée par une vague de contestations, cette fois-ci au sein du Commissariat à la Sécurité Alimentaire et à la Résilience. Les travailleurs dénoncent avec véhémence le licenciement jugé abusif de dix employés, dont huit femmes, décidé par la directrice générale, Marieme Soda Ndiaye.
Selon les agents concernés, tous bénéficiaient d’un Contrat à Durée Indéterminée (CDI) et avaient été recrutés dans le strict respect des procédures administratives, avec l’aval du Conseil d’Administration et le visa de l'inspection du travail. Pourtant, la directrice avance comme motif que ces contrats n’avaient pas obtenu l’autorisation du ministère des Finances.
Le collectif interministériel des agents de l’administration sénégalaise dénonce un excès de pouvoir et pointe un traitement inéquitable, soulignant qu’au même moment, les salaires de la directrice et du président du Conseil d'Administration ont été augmentés avec validation du même Conseil.
Face à cette situation, les travailleurs refusent de se laisser faire et annoncent une mobilisation renforcée, soutenue par les centrales syndicales. Ils rejettent également la proposition d'un accompagnement de quatre mois de salaire en guise de compensation et réclament leur réintégration immédiate. Pour eux, cette décision est non seulement injuste, mais aussi cruelle, car elle frappe des employés ayant servi loyalement leur pays, dont certains sont parents de famille en situation de précarité.
Dakaractu.com
Selon les agents concernés, tous bénéficiaient d’un Contrat à Durée Indéterminée (CDI) et avaient été recrutés dans le strict respect des procédures administratives, avec l’aval du Conseil d’Administration et le visa de l'inspection du travail. Pourtant, la directrice avance comme motif que ces contrats n’avaient pas obtenu l’autorisation du ministère des Finances.
Le collectif interministériel des agents de l’administration sénégalaise dénonce un excès de pouvoir et pointe un traitement inéquitable, soulignant qu’au même moment, les salaires de la directrice et du président du Conseil d'Administration ont été augmentés avec validation du même Conseil.
Face à cette situation, les travailleurs refusent de se laisser faire et annoncent une mobilisation renforcée, soutenue par les centrales syndicales. Ils rejettent également la proposition d'un accompagnement de quatre mois de salaire en guise de compensation et réclament leur réintégration immédiate. Pour eux, cette décision est non seulement injuste, mais aussi cruelle, car elle frappe des employés ayant servi loyalement leur pays, dont certains sont parents de famille en situation de précarité.
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