Le dispositif sécuritaire a été levé, ce lundi 24 juillet, autour du domicile d’Ousmane Sonko, à Dakar. L’opposant était bloqué chez lui par les forces de l’ordre, depuis fin mai, à la veille de sa condamnation à deux ans de prison dans son procès face à l’ancienne masseuse Adji Sarr, qui avait provoqué des violences meurtrières. Ousmane Sonko a toujours condamné une « séquestration ». Une mesure justifiée par le ministre du commerce et porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana.
Face à la presse cet après-midi avec ses collègues de l’eau et de l’assainissement Abdou Karim Fofana estime que le blocus se justifiait avec les multiples appels à l’insurrection du leader de Pastef qui pourrait éventuellement créer du désordre.
« Aujourd’hui il n’y a pas d’appel à l’insurrection, il n’y pas de raison de restreindre la circulation. C’est une mesure qui était justifiée et qui est finalement levée parce que le risque ne se pose plus » explique le porte-parole du gouvernement jugeant que les questions d’arrestations sont du domaine de la justice qui serait le mieux placé pour plus de détails.
Face à la presse cet après-midi avec ses collègues de l’eau et de l’assainissement Abdou Karim Fofana estime que le blocus se justifiait avec les multiples appels à l’insurrection du leader de Pastef qui pourrait éventuellement créer du désordre.
« Aujourd’hui il n’y a pas d’appel à l’insurrection, il n’y pas de raison de restreindre la circulation. C’est une mesure qui était justifiée et qui est finalement levée parce que le risque ne se pose plus » explique le porte-parole du gouvernement jugeant que les questions d’arrestations sont du domaine de la justice qui serait le mieux placé pour plus de détails.
