L’opposition sénégalaise, avec en tête des figures comme Barthélémy Dias, semble avoir choisi la violence comme ultime stratégie, un signe clair d’une perte de contrôle et d'une absence totale de projet solide pour répondre aux attentes de la population. Depuis plusieurs années, Barthélémy Dias, connu pour son passé de provocations et d'actes de violence, incarne une opposition de plus en plus désespérée, cherchant à compenser son manque de programme par des actions d’intimidation et de chaos.
À l’approche des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, l’opposition sénégalaise semble bien consciente de sa position fragile. Elle sait que les électeurs attendent des réponses concrètes aux défis du pays : l’emploi, l’éducation, la santé, et la sécurité. Or, au lieu d’un programme clair, de propositions nouvelles et de solutions tangibles, cette opposition mise sur la violence comme dernier rempart pour tenter de masquer son vide politique. Les agressions perpétrées contre les militants de PASTEF à Saint-Louis, orchestrées par les hommes de Dias, en sont un triste exemple. Leur seule "faute" ? Avoir scandé le nom de notre leader, le Président Ousmane Sonko, qui incarne pour beaucoup un espoir de changement.
La stratégie de la peur, du chaos et de l’intimidation n'est cependant qu'un écran de fumée. En réalité, Barthélémy Dias et ses alliés voient bien qu’ils n’ont pas l’appui populaire nécessaire pour renverser la tendance. Leurs actes révèlent une amertume : celle de politiciens incapables de proposer une alternative crédible, et qui misent tout sur la violence pour troubler un processus électoral où la victoire semble pourtant à portée de main pour notre parti PASTEF.
Mais face à ces provocations, nous devons rester lucides et éviter de tomber dans ce piège grossier. Répondre à la violence par la violence ne ferait que ternir la promesse de renouveau que nous incarnons. La stratégie de Dias et de ses partisans est claire : forcer PASTEF à réagir de manière excessive pour ensuite le dépeindre comme un parti aussi conflictuel que ses opposants. En maintenant le cap, en rejetant toute forme de violence, PASTEF peut démontrer sa maturité politique et son engagement envers une transition pacifique et démocratique.
Bref , le Sénégal mérite une opposition qui propose des idées et un projet pour l'avenir, pas une opposition qui brandit la violence comme seul argument. Barthélémy Dias et ses alliés montrent bien qu’ils sont dépassés par le vent de changement qui souffle sur le pays. À PASTEF et à ses sympathisants de garder leur calme et leur dignité, de persévérer dans un combat démocratique et de prouver que l’avenir du Sénégal ne se construira ni par la peur, ni par la violence, mais par le dialogue et le respect des valeurs démocratiques.
Ibrahima DIOP
Professeur certifié de classe normale (Economie- Gestion : option comptabilité et finance) au lycée Général et Technologique Montgrand à Marseille.
Coordinateur de la Section de Pastef Nice Côte d’azur
Vice-président du Commissariat Bonne Gouvernance Patriotisme et Citoyenneté (MONCAP DIASPORA)
Membre de l’Assemblée Générale de Pastef France.
Ibrahima.Diop@ac-nice.fr
Ibrahima.Diop@ac-aix-marseille.fr
À l’approche des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, l’opposition sénégalaise semble bien consciente de sa position fragile. Elle sait que les électeurs attendent des réponses concrètes aux défis du pays : l’emploi, l’éducation, la santé, et la sécurité. Or, au lieu d’un programme clair, de propositions nouvelles et de solutions tangibles, cette opposition mise sur la violence comme dernier rempart pour tenter de masquer son vide politique. Les agressions perpétrées contre les militants de PASTEF à Saint-Louis, orchestrées par les hommes de Dias, en sont un triste exemple. Leur seule "faute" ? Avoir scandé le nom de notre leader, le Président Ousmane Sonko, qui incarne pour beaucoup un espoir de changement.
La stratégie de la peur, du chaos et de l’intimidation n'est cependant qu'un écran de fumée. En réalité, Barthélémy Dias et ses alliés voient bien qu’ils n’ont pas l’appui populaire nécessaire pour renverser la tendance. Leurs actes révèlent une amertume : celle de politiciens incapables de proposer une alternative crédible, et qui misent tout sur la violence pour troubler un processus électoral où la victoire semble pourtant à portée de main pour notre parti PASTEF.
Mais face à ces provocations, nous devons rester lucides et éviter de tomber dans ce piège grossier. Répondre à la violence par la violence ne ferait que ternir la promesse de renouveau que nous incarnons. La stratégie de Dias et de ses partisans est claire : forcer PASTEF à réagir de manière excessive pour ensuite le dépeindre comme un parti aussi conflictuel que ses opposants. En maintenant le cap, en rejetant toute forme de violence, PASTEF peut démontrer sa maturité politique et son engagement envers une transition pacifique et démocratique.
Bref , le Sénégal mérite une opposition qui propose des idées et un projet pour l'avenir, pas une opposition qui brandit la violence comme seul argument. Barthélémy Dias et ses alliés montrent bien qu’ils sont dépassés par le vent de changement qui souffle sur le pays. À PASTEF et à ses sympathisants de garder leur calme et leur dignité, de persévérer dans un combat démocratique et de prouver que l’avenir du Sénégal ne se construira ni par la peur, ni par la violence, mais par le dialogue et le respect des valeurs démocratiques.
Ibrahima DIOP
Professeur certifié de classe normale (Economie- Gestion : option comptabilité et finance) au lycée Général et Technologique Montgrand à Marseille.
Coordinateur de la Section de Pastef Nice Côte d’azur
Vice-président du Commissariat Bonne Gouvernance Patriotisme et Citoyenneté (MONCAP DIASPORA)
Membre de l’Assemblée Générale de Pastef France.
Ibrahima.Diop@ac-nice.fr
Ibrahima.Diop@ac-aix-marseille.fr