Papa Ada Ndiaye, alias Koccbarma Ndiaye, membre fondateur de Pastef Brescia et résident en Italie, a vivement critiqué le duo Diomaye-Sonko, soulignant que le véritable changement ne pourrait naître qu’à travers un engagement direct avec la population, loin des pratiques habituelles des dirigeants politiques.
"Nous avons peur du terrain et pourtant, c’est là, dans cette poussière, dans ce chaos vivant, que naît le véritable changement", a déclaré Koccbarma Ndiaye. Pour lui, le pays ne pourra pas se transformer en restant à l'abri des réalités du quotidien des citoyens, derrière des bureaux climatisés et des voitures luxueuses. "On ne transformera jamais ce pays en répétant les mêmes pratiques, en restant bien au chaud derrière des bureaux climatisés et voitures de 50 millions", a-t-il ajouté, exprimant son désaveu envers l'inaction des élites politiques.
Il a ensuite réaffirmé son engagement envers un développement réel, loin des discours vides et des solutions superficielles. "Le développement, le vrai, celui qu’on clamait haut et fort quand nous étions dans l’opposition, c’est le contact direct avec le peuple, c’est le dialogue franc et l’action concrète sur le terrain, pas dans le confort", a souligné le membre fondateur de Pastef. Il a dénoncé la répétition des anciennes méthodes sous des noms différents, sans réel changement structurel. "Aujourd’hui, je ne vois que des recyclages. On prend les vieilles méthodes, on les rebaptise, on les renomme mais on ne change rien", a-t-il ajouté.
Pour Koccbarma Ndiaye, il est impératif de réorienter les ressources vers des priorités essentielles, telles que la création d'emplois, le renforcement du système de santé et la construction d'une industrialisation digne. "On continue à préserver les avantages et les privilèges là où il faudrait les éliminer, au moins temporairement, pour réorienter les ressources vers ce qui compte : créer de l’emploi, poser les fondations d’une industrialisation digne, renforcer un système de santé qui ne vacille plus à chaque secousse", a-t-il déclaré.
Un point particulièrement important de son discours a été sa remise en question du rôle des institutions dans le développement du pays. "Ce ne sont pas les institutions qui développent un pays. Elles doivent l’organiser, le servir mais c’est le peuple, avec le peuple et pour le peuple, qu’on construit un avenir meilleur", a-t-il souligné.
Selon lui, il est inconcevable d'exiger du peuple qu’il endure des privations tout en voyant les dirigeants vivre dans un luxe déconnecté de la réalité des citoyens. "On ne peut pas exiger du peuple qu’il endure les privations pendant que ses dirigeants s’enferment dans des conforts luxueux", a-t-il affirmé.
Enfin, Koccbarma Ndiaye a mis en garde contre la trahison des promesses faites aux citoyens : "Si nous ne retournons pas sur le terrain, si nous ne mettons pas les mains dans la terre, alors nous serons simplement en train de trahir tout ce que nous avions promis".
"Nous avons peur du terrain et pourtant, c’est là, dans cette poussière, dans ce chaos vivant, que naît le véritable changement", a déclaré Koccbarma Ndiaye. Pour lui, le pays ne pourra pas se transformer en restant à l'abri des réalités du quotidien des citoyens, derrière des bureaux climatisés et des voitures luxueuses. "On ne transformera jamais ce pays en répétant les mêmes pratiques, en restant bien au chaud derrière des bureaux climatisés et voitures de 50 millions", a-t-il ajouté, exprimant son désaveu envers l'inaction des élites politiques.
Il a ensuite réaffirmé son engagement envers un développement réel, loin des discours vides et des solutions superficielles. "Le développement, le vrai, celui qu’on clamait haut et fort quand nous étions dans l’opposition, c’est le contact direct avec le peuple, c’est le dialogue franc et l’action concrète sur le terrain, pas dans le confort", a souligné le membre fondateur de Pastef. Il a dénoncé la répétition des anciennes méthodes sous des noms différents, sans réel changement structurel. "Aujourd’hui, je ne vois que des recyclages. On prend les vieilles méthodes, on les rebaptise, on les renomme mais on ne change rien", a-t-il ajouté.
Pour Koccbarma Ndiaye, il est impératif de réorienter les ressources vers des priorités essentielles, telles que la création d'emplois, le renforcement du système de santé et la construction d'une industrialisation digne. "On continue à préserver les avantages et les privilèges là où il faudrait les éliminer, au moins temporairement, pour réorienter les ressources vers ce qui compte : créer de l’emploi, poser les fondations d’une industrialisation digne, renforcer un système de santé qui ne vacille plus à chaque secousse", a-t-il déclaré.
Un point particulièrement important de son discours a été sa remise en question du rôle des institutions dans le développement du pays. "Ce ne sont pas les institutions qui développent un pays. Elles doivent l’organiser, le servir mais c’est le peuple, avec le peuple et pour le peuple, qu’on construit un avenir meilleur", a-t-il souligné.
Selon lui, il est inconcevable d'exiger du peuple qu’il endure des privations tout en voyant les dirigeants vivre dans un luxe déconnecté de la réalité des citoyens. "On ne peut pas exiger du peuple qu’il endure les privations pendant que ses dirigeants s’enferment dans des conforts luxueux", a-t-il affirmé.
Enfin, Koccbarma Ndiaye a mis en garde contre la trahison des promesses faites aux citoyens : "Si nous ne retournons pas sur le terrain, si nous ne mettons pas les mains dans la terre, alors nous serons simplement en train de trahir tout ce que nous avions promis".