Ce mardi 4 avril 2023, le Sénégal célèbre le 63ème anniversaire de son accession à la souveraineté internationale. L'ancien ministre du commerce, Khalifa Sall par ailleurs Président du mouvement Tawu Sénégal s'est adressé aux Sénégalais et il a profité de cette occasion pour dénoncer les dérives du régime de l'APR.
"La République demeure. Les hommes passent, mais ses piliers résistent au temps et puisent leur vigueur dans l’effort conjugué des générations successives à consolider ses acquis. Hélas ! Notre pays traverse des moments sombres qui, si l’on n’y prend garde, risquent de nous plonger dans l'abîme. Nous sommes en face d’un pouvoir qui favorise des destinées individuelles au détriment du destin national. Un pouvoir qui assume son funeste dessein de « réduire l’opposition à sa plus simple expression », élimine ses adversaires à coup de condamnations iniques, emprisonne à tour de bras et s’acharne sur ceux qui ne pensent pas comme lui. Ces dérives liberticides se heurteront à notre ferme volonté à vivre dans un pays démocratique et apaisé. Ce n’est pas une faiblesse que de reconnaître ses erreurs, c’est un premier pas vers la rédemption", conseille Khalifa Sall.
Il ajoute : "J’entends le brouhaha qui s’échappe des souffrances de notre peuple. Je comprends l’exigence de nos compatriotes pour une pratique politique plus saine, leur impatience à se retrouver au centre de nos préoccupations. C’est pourquoi nous devons rouvrir la porte de l’espoir, remettre la République à l’endroit et replacer le Sénégalais au cœur de notre action.
Telle est ma lumière intérieure ! Mon bréviaire ! Dans un monde confronté à une instabilité chronique, notre pays doit demeurer un pôle de stabilité. Trouvons des solutions concrètes assujetties au respect des orientations et des choix politiques des uns et des autres. Répondons ensemble aux urgences de l’heure et aux défis de demain."
"La République demeure. Les hommes passent, mais ses piliers résistent au temps et puisent leur vigueur dans l’effort conjugué des générations successives à consolider ses acquis. Hélas ! Notre pays traverse des moments sombres qui, si l’on n’y prend garde, risquent de nous plonger dans l'abîme. Nous sommes en face d’un pouvoir qui favorise des destinées individuelles au détriment du destin national. Un pouvoir qui assume son funeste dessein de « réduire l’opposition à sa plus simple expression », élimine ses adversaires à coup de condamnations iniques, emprisonne à tour de bras et s’acharne sur ceux qui ne pensent pas comme lui. Ces dérives liberticides se heurteront à notre ferme volonté à vivre dans un pays démocratique et apaisé. Ce n’est pas une faiblesse que de reconnaître ses erreurs, c’est un premier pas vers la rédemption", conseille Khalifa Sall.
Il ajoute : "J’entends le brouhaha qui s’échappe des souffrances de notre peuple. Je comprends l’exigence de nos compatriotes pour une pratique politique plus saine, leur impatience à se retrouver au centre de nos préoccupations. C’est pourquoi nous devons rouvrir la porte de l’espoir, remettre la République à l’endroit et replacer le Sénégalais au cœur de notre action.
Telle est ma lumière intérieure ! Mon bréviaire ! Dans un monde confronté à une instabilité chronique, notre pays doit demeurer un pôle de stabilité. Trouvons des solutions concrètes assujetties au respect des orientations et des choix politiques des uns et des autres. Répondons ensemble aux urgences de l’heure et aux défis de demain."