A l'occasion de la journée internationale de la vue, "l'organisation "spéciale olympique" avec ses partenaires ont organisé une journée de consultations médicales pendant laquelle 50 enfants ont été au lycée Djignabo..
Pour cette première édition, la consultation est spécialisée en ophtalmologie plusieurs pathologies ont été détectées à savoir le cataracte, conjonctivite... Adama Bodian, Athlète spécial olympique, a lancé un appel à l'endroit des autorités :"Nous d'efficience intellectuelle, nous voulons travailler comme tous nos frères et soeurs qui ne sont pas de notre nature. Nous avons la certitude que nous sommes capable à faire tout effort intellectuelle que font les autres", a t-elle prévenu.
Aissatou Diédhiou, coordinatrice de "spécial olympique" section Ziguinchor, estime que les personnes déficiente intellectuelle ont droit à l'éducation à la santé et leur accès dans les hôpitaux pose d'énormes difficultés.
"Nous les invitons à rejoindre spécial olympique pour qu'elles bénéficient de nos programmes. Il faut que les gens sachent que ces personnes pourront s'en sortir à condition que les stigmatisations cessent." Elle ajoute, "la société montre une fuite de responsabilité en pensant qu'elles ne peuvent pas réussir."
L'association, "spécial olympique" qui évolue dans le social compte poursuivre ses actions pour le bien étre de la population.
Pour cette première édition, la consultation est spécialisée en ophtalmologie plusieurs pathologies ont été détectées à savoir le cataracte, conjonctivite... Adama Bodian, Athlète spécial olympique, a lancé un appel à l'endroit des autorités :"Nous d'efficience intellectuelle, nous voulons travailler comme tous nos frères et soeurs qui ne sont pas de notre nature. Nous avons la certitude que nous sommes capable à faire tout effort intellectuelle que font les autres", a t-elle prévenu.
Aissatou Diédhiou, coordinatrice de "spécial olympique" section Ziguinchor, estime que les personnes déficiente intellectuelle ont droit à l'éducation à la santé et leur accès dans les hôpitaux pose d'énormes difficultés.
"Nous les invitons à rejoindre spécial olympique pour qu'elles bénéficient de nos programmes. Il faut que les gens sachent que ces personnes pourront s'en sortir à condition que les stigmatisations cessent." Elle ajoute, "la société montre une fuite de responsabilité en pensant qu'elles ne peuvent pas réussir."
L'association, "spécial olympique" qui évolue dans le social compte poursuivre ses actions pour le bien étre de la population.