Retour sur le dernier séjour aux États-Unis, de Idrissa Seck où il a rencontré un groupe d’étudiants sénégalais et d’autres pays africains. Au cours des échanges, ces derniers ont interpellé le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) sur la question d’une éventuelle troisième candidature du Président Macky Sall, qui agite le champ politique sénégalais, et sa démarche politique jugée «tortueuse» par beaucoup par plusieurs observateurs du champ politique.
Face à son jeune auditoire du "Yale Club", l’ancien Premier ministre a assuré avoir fait le bon choix. «Je ne regrette rien», a-t-il clamé de sa voix posée avant d’expliquer en détail pourquoi son alliance avec Macky Sall était le bon choix. Auparavant, Idrissa Seck a revisité son projet politique qu’il dit «suivre invariablement et inlassablement». «Du Sopi au Rewmi», c’est-à-dire de son compagnonnage avec Abdoulaye Wade, au sein du PDS, à la création de sa propre formation politique.
En abordant ce chapitre de son intervention, il a répondu à la question du troisième mandat. C’était pour rappeler que l’un des piliers centraux de son projet politique était de «faire du Sénégal une démocratie majeure où la transmission du pouvoir se fait sans violence, à un rythme régulier dont la fréquence n’excède pas dix ans, deux mandats de cinq ans, pas trois». REGARDEZ
Face à son jeune auditoire du "Yale Club", l’ancien Premier ministre a assuré avoir fait le bon choix. «Je ne regrette rien», a-t-il clamé de sa voix posée avant d’expliquer en détail pourquoi son alliance avec Macky Sall était le bon choix. Auparavant, Idrissa Seck a revisité son projet politique qu’il dit «suivre invariablement et inlassablement». «Du Sopi au Rewmi», c’est-à-dire de son compagnonnage avec Abdoulaye Wade, au sein du PDS, à la création de sa propre formation politique.
En abordant ce chapitre de son intervention, il a répondu à la question du troisième mandat. C’était pour rappeler que l’un des piliers centraux de son projet politique était de «faire du Sénégal une démocratie majeure où la transmission du pouvoir se fait sans violence, à un rythme régulier dont la fréquence n’excède pas dix ans, deux mandats de cinq ans, pas trois». REGARDEZ

