Invitée de l’émission « En Vérité » sur Radio Sénégal, Hélène Tine a salué la récente tournée économique du président Bassirou Diomaye Faye en Casamance, qu’elle considère comme un signal fort en faveur d’une paix durable dans le sud du pays.
Pour la présidente du Mouvement pour un Sénégal d’éthique et de travail, la présence régulière du chef de l’État en Casamance est avant tout une démarche de consolidation de la paix et de rassurance des populations. Elle a mis en avant une rupture nette avec les pratiques du passé, soulignant le caractère sobre et pragmatique de la visite présidentielle, marquée par l’absence de folklore et de mise en scène politique.
« C’est cela la vraie rupture », a-t-elle affirmé, estimant que l’essentiel réside désormais dans les actes concrets et non dans la mobilisation artificielle des foules.
Hélène Tine juge normal que le président Diomaye se rende régulièrement en Casamance pour s’assurer de l’application effective des décisions prises et ajuster, si nécessaire, l’action publique sur le terrain. Selon elle, ces tournées ne doivent plus être des campagnes déguisées, mais des outils de suivi et d’évaluation des politiques publiques.
Sur la paix définitive, elle se dit confiante. Malgré la persistance de poches de tension résiduelles, elle estime que la Casamance est engagée sur une trajectoire irréversible vers la stabilité, à condition d’accompagner le processus politique par un développement économique et social ambitieux.
« La Casamance peut redevenir le grenier du Sénégal », a-t-elle soutenu, appelant à des investissements structurants dans les infrastructures, l’agriculture et les services sociaux.
En somme, pour Hélène Tine, la paix en Casamance est désormais à portée, à condition que les engagements politiques se traduisent par des actions visibles et durables au bénéfice des populations locales.
Pour la présidente du Mouvement pour un Sénégal d’éthique et de travail, la présence régulière du chef de l’État en Casamance est avant tout une démarche de consolidation de la paix et de rassurance des populations. Elle a mis en avant une rupture nette avec les pratiques du passé, soulignant le caractère sobre et pragmatique de la visite présidentielle, marquée par l’absence de folklore et de mise en scène politique.
« C’est cela la vraie rupture », a-t-elle affirmé, estimant que l’essentiel réside désormais dans les actes concrets et non dans la mobilisation artificielle des foules.
Hélène Tine juge normal que le président Diomaye se rende régulièrement en Casamance pour s’assurer de l’application effective des décisions prises et ajuster, si nécessaire, l’action publique sur le terrain. Selon elle, ces tournées ne doivent plus être des campagnes déguisées, mais des outils de suivi et d’évaluation des politiques publiques.
Sur la paix définitive, elle se dit confiante. Malgré la persistance de poches de tension résiduelles, elle estime que la Casamance est engagée sur une trajectoire irréversible vers la stabilité, à condition d’accompagner le processus politique par un développement économique et social ambitieux.
« La Casamance peut redevenir le grenier du Sénégal », a-t-elle soutenu, appelant à des investissements structurants dans les infrastructures, l’agriculture et les services sociaux.
En somme, pour Hélène Tine, la paix en Casamance est désormais à portée, à condition que les engagements politiques se traduisent par des actions visibles et durables au bénéfice des populations locales.
