Le ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises, Abdou Karim Fofana s’est exprimé sur la hausse des factures d’électricité. C’était lors d’une rencontre organisée par le Cabinet international d'audit et de conseil, Pwc Sénégal, qui a posé le débat sur les grands enjeux auxquels fait face l'économie sénégalaise, en donnant la parole aux chefs d'entreprise.
M. Fofana a pris part à cette rencontre. L’autorité a saisi l’occasion pour se prononcer sur l'actualité brûlante relative à la consommation d'électricité au Sénégal avec l'incrimination des compteurs dits "Woyofal". Mais sans convaincre puis qu’il semble lier cette hausse par la forte demande qui est passée de 770 mégawatts au mois de janvier à 1.046 mégawatts au mois d'octobre, soit une augmentation de 30 à 40 % en moyenne pour les ménages.
Selon le ministre dont les propos ont été rapportés par Dakaractu, « l'État s'est engagé à protéger les couches les plus vulnérables en fixant le système de tarification. Ce qui explique la mise en place de tranches sociales en vue de soutenir les ménages les plus vulnérables ».
Le ministre du Commerce, de la Consommation et des petites et moyennes entreprises a tenu à préciser l'évolution notée au Sénégal en termes de croissance entre 2012 et 2023, en se référant au Plan Sénégal Émergent (PSE). « L'un des objectifs du PSE, c'était d'abord d'opérer une transformation structurelle de l'économie en changeant le paradigme des sources de croissance », a-t-il précisé.
Abdou Karim Fofana, en sa qualité, d'ancien ministre en charge du suivi du PSE, révèle que les secteurs des nouvelles technologies de l'Information et de la Communication et les services financiers, jadis considérés comme des moteurs clés de la croissance, ont été renforcés par d'autres secteurs porteurs tels que le Tourisme. En atteste, le nombre de visiteurs enregistrés à l'entrée à l'Aéroport International Blaise Diagne qui s'était fixé comme objectif un nombre de trois millions de visiteurs à court terme lors de l'inauguration et qui était à plus de deux millions cinq cents mille visiteurs avant la Covid-19.
Selon le Ministre du Commerce, le Sénégal est sur la bonne voie avec l'augmentation de son budget qui est passé de 500 milliards de francs CFA en 2000, et 2500 milliards en 2012, à 7000 milliards de francs CFA en 2023. Ce qui va générer des recettes budgétaires qui permettront d'investir pour le futur avec par exemple la construction de nouvelles infrastructures de base, le tout dans l'équité sociale et territoriale.
S'agissant de l'inflation, le ministre du Commerce, de la Consommation et des PME dira qu'elle est saisonnière au Sénégal et reste liée à l'hivernage qui a un impact sur des activités comme la pêche, le maraîchage, l'élevage entre autres.
« Le débat réside dans les habitudes de consommation dans une économie en développement », a-t-il poursuivi en insistant sur une dynamique de consommation très forte notée au Sénégal avec un PIB par habitant qui est passé de 900 à 1300 dollars en dix ans ce qui, selon l’autorité, doit intéresser le secteur privé pour investir davantage.
Presafrik
M. Fofana a pris part à cette rencontre. L’autorité a saisi l’occasion pour se prononcer sur l'actualité brûlante relative à la consommation d'électricité au Sénégal avec l'incrimination des compteurs dits "Woyofal". Mais sans convaincre puis qu’il semble lier cette hausse par la forte demande qui est passée de 770 mégawatts au mois de janvier à 1.046 mégawatts au mois d'octobre, soit une augmentation de 30 à 40 % en moyenne pour les ménages.
Selon le ministre dont les propos ont été rapportés par Dakaractu, « l'État s'est engagé à protéger les couches les plus vulnérables en fixant le système de tarification. Ce qui explique la mise en place de tranches sociales en vue de soutenir les ménages les plus vulnérables ».
Le ministre du Commerce, de la Consommation et des petites et moyennes entreprises a tenu à préciser l'évolution notée au Sénégal en termes de croissance entre 2012 et 2023, en se référant au Plan Sénégal Émergent (PSE). « L'un des objectifs du PSE, c'était d'abord d'opérer une transformation structurelle de l'économie en changeant le paradigme des sources de croissance », a-t-il précisé.
Abdou Karim Fofana, en sa qualité, d'ancien ministre en charge du suivi du PSE, révèle que les secteurs des nouvelles technologies de l'Information et de la Communication et les services financiers, jadis considérés comme des moteurs clés de la croissance, ont été renforcés par d'autres secteurs porteurs tels que le Tourisme. En atteste, le nombre de visiteurs enregistrés à l'entrée à l'Aéroport International Blaise Diagne qui s'était fixé comme objectif un nombre de trois millions de visiteurs à court terme lors de l'inauguration et qui était à plus de deux millions cinq cents mille visiteurs avant la Covid-19.
Selon le Ministre du Commerce, le Sénégal est sur la bonne voie avec l'augmentation de son budget qui est passé de 500 milliards de francs CFA en 2000, et 2500 milliards en 2012, à 7000 milliards de francs CFA en 2023. Ce qui va générer des recettes budgétaires qui permettront d'investir pour le futur avec par exemple la construction de nouvelles infrastructures de base, le tout dans l'équité sociale et territoriale.
S'agissant de l'inflation, le ministre du Commerce, de la Consommation et des PME dira qu'elle est saisonnière au Sénégal et reste liée à l'hivernage qui a un impact sur des activités comme la pêche, le maraîchage, l'élevage entre autres.
« Le débat réside dans les habitudes de consommation dans une économie en développement », a-t-il poursuivi en insistant sur une dynamique de consommation très forte notée au Sénégal avec un PIB par habitant qui est passé de 900 à 1300 dollars en dix ans ce qui, selon l’autorité, doit intéresser le secteur privé pour investir davantage.
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