Le député Guy Marius Sagna relance le dossier Softcare en mettant directement en cause l’Agence de Réglementation Pharmaceutique (ARP) et, au-delà, la responsabilité du pouvoir exécutif. Pour l’élu, l’affaire dépasse désormais le simple cadre d’un dysfonctionnement administratif : elle révèle, selon lui, une faillite inquiétante du système de contrôle sanitaire censé protéger les populations, en particulier les femmes et les nourrissons.
L’usine Softcare, spécialisée dans la fabrication de serviettes hygiéniques et de couches, se retrouve ainsi au cœur d’une controverse aux implications politiques et sanitaires majeures. Guy Marius Sagna accuse l’ARP d’avoir entretenu le flou autour des résultats des inspections, au point de fragiliser la crédibilité même de l’institution.
Selon ses révélations, le deuxième communiqué publié par l’ARP aurait été rendu public alors que le rapport de la seconde inspection n’était pas encore arrivé sur le bureau du Directeur général. Une situation que le député interprète comme un grave manquement à la rigueur administrative, voire une tentative de brouillage de l’information. Plus troublant encore, cette seconde visite aurait pourtant confirmé les anomalies relevées lors du premier contrôle.
Face à ce qu’il considère comme un risque sanitaire avéré, Guy Marius Sagna adopte une posture de rupture. Il appelle ouvertement au retrait immédiat des produits Softcare du marché et exhorte les consommateurs à s’en détourner, estimant que la santé publique ne peut être sacrifiée sur l’autel de l’approximation ou du silence institutionnel.
Mais l’attaque la plus directe vise le sommet de l’ARP. Le parlementaire remet en cause la crédibilité du Directeur général de l’Agence, affirmant avoir interrogé, sans réponse claire, le ministre de la Santé sur le passé et l’intégrité de ce dernier. À ses yeux, le mutisme du ministère alimente le soupçon et affaiblit la confiance dans un organe chargé de missions vitales pour la sécurité sanitaire du pays.
Pour Guy Marius Sagna, le problème n’est donc plus seulement Softcare, mais la capacité de l’État à assumer pleinement sa mission de protection. Il appelle le gouvernement à sortir de l’ambiguïté et à poser des actes forts, en procédant à une réorganisation de la direction de l’ARP afin de restaurer la crédibilité de l’institution.
Dans ce qu’il présente comme un test de gouvernance, l’élu de Pastef estime qu’un pouvoir responsable se reconnaît à sa capacité à corriger rapidement ses erreurs. La santé des femmes et des bébés, insiste-t-il, ne saurait faire l’objet de compromis ni de calculs politiques, plaçant ainsi l’exécutif face à une obligation de décision claire et immédiate.
L’usine Softcare, spécialisée dans la fabrication de serviettes hygiéniques et de couches, se retrouve ainsi au cœur d’une controverse aux implications politiques et sanitaires majeures. Guy Marius Sagna accuse l’ARP d’avoir entretenu le flou autour des résultats des inspections, au point de fragiliser la crédibilité même de l’institution.
Selon ses révélations, le deuxième communiqué publié par l’ARP aurait été rendu public alors que le rapport de la seconde inspection n’était pas encore arrivé sur le bureau du Directeur général. Une situation que le député interprète comme un grave manquement à la rigueur administrative, voire une tentative de brouillage de l’information. Plus troublant encore, cette seconde visite aurait pourtant confirmé les anomalies relevées lors du premier contrôle.
Face à ce qu’il considère comme un risque sanitaire avéré, Guy Marius Sagna adopte une posture de rupture. Il appelle ouvertement au retrait immédiat des produits Softcare du marché et exhorte les consommateurs à s’en détourner, estimant que la santé publique ne peut être sacrifiée sur l’autel de l’approximation ou du silence institutionnel.
Mais l’attaque la plus directe vise le sommet de l’ARP. Le parlementaire remet en cause la crédibilité du Directeur général de l’Agence, affirmant avoir interrogé, sans réponse claire, le ministre de la Santé sur le passé et l’intégrité de ce dernier. À ses yeux, le mutisme du ministère alimente le soupçon et affaiblit la confiance dans un organe chargé de missions vitales pour la sécurité sanitaire du pays.
Pour Guy Marius Sagna, le problème n’est donc plus seulement Softcare, mais la capacité de l’État à assumer pleinement sa mission de protection. Il appelle le gouvernement à sortir de l’ambiguïté et à poser des actes forts, en procédant à une réorganisation de la direction de l’ARP afin de restaurer la crédibilité de l’institution.
Dans ce qu’il présente comme un test de gouvernance, l’élu de Pastef estime qu’un pouvoir responsable se reconnaît à sa capacité à corriger rapidement ses erreurs. La santé des femmes et des bébés, insiste-t-il, ne saurait faire l’objet de compromis ni de calculs politiques, plaçant ainsi l’exécutif face à une obligation de décision claire et immédiate.

