
Le député Guy Marius Sagna a soulevé des préoccupations concernant la gestion de l’hôtel King Fahd Palace, propriété de l’État sénégalais mais déléguée à la Société Hôtelière Africaine (SHA) dans des conditions qu’il qualifie d’opaques.
« Depuis mars 2024, le gouvernement n’a pas fait l’état des lieux de l’hôtel King Fahd Palace, qui a fait l’objet d’une délégation de service public. Même pas de visite. Il n’y a pas encore eu d’audit », déplore-t-il, rappelant que la dernière mission de l’Inspection Générale d’État (IGE) en 2013 avait recommandé la révision du contrat liant l’État à la SHA.
Guy Marius Sagna pointe également du doigt la réduction drastique du personnel de l’hôtel, passé de 370 employés en 2011 à seulement 204 en 2024, ainsi que le licenciement arbitraire de 76 travailleurs. Il demande des comptes sur les recommandations de l’IGE et interroge sur l’éventualité d’un nouvel appel d’offres.
Un appel à la transparence et au respect des valeurs nationales
À travers ces trois questions écrites, Guy Marius Sagna interpelle le gouvernement sur des dossiers qu’il juge cruciaux pour la souveraineté et la justice sociale au Sénégal. Il exhorte les autorités à agir rapidement pour protéger les valeurs du pays, assurer des conditions de travail dignes aux jeunes volontaires et garantir une gestion transparente des biens publics.
« Depuis mars 2024, le gouvernement n’a pas fait l’état des lieux de l’hôtel King Fahd Palace, qui a fait l’objet d’une délégation de service public. Même pas de visite. Il n’y a pas encore eu d’audit », déplore-t-il, rappelant que la dernière mission de l’Inspection Générale d’État (IGE) en 2013 avait recommandé la révision du contrat liant l’État à la SHA.
Guy Marius Sagna pointe également du doigt la réduction drastique du personnel de l’hôtel, passé de 370 employés en 2011 à seulement 204 en 2024, ainsi que le licenciement arbitraire de 76 travailleurs. Il demande des comptes sur les recommandations de l’IGE et interroge sur l’éventualité d’un nouvel appel d’offres.
Un appel à la transparence et au respect des valeurs nationales
À travers ces trois questions écrites, Guy Marius Sagna interpelle le gouvernement sur des dossiers qu’il juge cruciaux pour la souveraineté et la justice sociale au Sénégal. Il exhorte les autorités à agir rapidement pour protéger les valeurs du pays, assurer des conditions de travail dignes aux jeunes volontaires et garantir une gestion transparente des biens publics.