Le responsable politique de l’Apr de Ziguinchor, Ibrahima Mendy à l’image de nombreux militants dudit parti présidentiel, croit dur comme fer que le président Macky Sall a droit à un nouveau mandat. Mieux martèle-t-il : « Il n’y a ni de plan A ni de plan B, notre candidat c’est Macky Sall ». Non sans décrier l’attitude de l’opposition sur la question, Dr Mendy révèle que Ousmane Sonko et Barthélemy Diaz deux farouches opposants du régime, sont les premiers à valider la candidature de leur mentor.
«Je pense que je vais emprunter les mots, la phrase du président Macky Sall aux États-Unis. Je suis tout à fait d'accord avec lui, sa candidature n'est plus une question juridique. Et cela, l'article 27 de la Constitution l’a réglé », a-t-il souligné. Mieux, explique Dr Mendy, « la décision du Conseil constitutionnel du 12 février 2016 règle cette question ». «C'est vrai, le débat est là. D'aucuns disent que l'article 27 stipule que "nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs". Mais en réalité sur cet article 27 là, eux ils prennent seulement l’alinéa qui les intéresse parce que l'article 27 dans la globalité est constitué de deux alinéas. Le premier alinéa dit quoi : la durée du mandat du président de la République est de 5 ans. Le deuxième alinéa nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. Mais au-delà de cet article 27, la décision du Conseil constitutionnel du 12 février 2016 était relative au projet de constitution que le président de la République leur avait transmis pour avis. Sur ce projet existait un alinéa qui demandait à cette constitution de prendre en compte le mandat en cours de sept ans. Au niveau de la Constitution au paragraphe 30, il est bien écrit quelque part que cette constitution n'était pas à la portée du mandat (septennat: NDLR) en cours. Donc ça ne peut pas rétrograder pour prendre en compte le mandat de sept ans. Mais aussi sur cette même décision, si vous allez à l'article 3, il est bien écrit que la constitution actuelle ne peut pas prendre en compte le mandat en cours. Donc c'est clair. Donc au vu de tout ça, de la décision du Conseil constitutionnel du 12 février 2016 et de l'article 27, moi je pense que le président Macky Sall a droit à un autre quinquennat », a-t-il développé. « Le président Macky Sall peut se représenter en 2024 pour un mandat de cinq ans. Rien ne peut l'empêcher de la faire », enchaine-t-il. « Donc pour moi, je ne suis plus à l'étape de : est-ce que le président peut se représenter ? Je suis à l'étape si le président Macky Sall accepte de se présenter, comment faire pour réélire ? », se demande-t-il. Le débat de la candidature pour moi c'est dépassé ». « Le président Macky Sall pour moi il n'y a ni de plan A ni de plan B. Notre candidat c'est le président Macky Sall pour moi le moment où nous sommes jusqu'à ce que lui il décide autrement », peste le responsable de l’Apr arrêté Ziguinchor.
«Maintenant je vois que des gens veulent ramener le débat à un débat moral. Mais vraiment si on prenait en compte des déclarations contradictoires des uns et des autres. Je pense que déjà Ousmane Sonko et Barthélemy Diaz avaient validé cette candidature depuis très longtemps avant qu'on agite ce débat. Sonko avait dit que Macky Sall a droit à un troisième mandat parce qu'il n'y a pas une disposition dans la constitution qui l'interdit de se présenter en 2024. Barthélemy Diaz est encore plus clair et explicite », a-t-il convoqué non sans appeler à la retenue. Ibrahima Mendy ajoute : « Donc, respectons la Constitution et laissons les questions morales lesquelles ne peuvent être réglées par le président Macky Sall lui-même. C'est une question personnelle ».
Toujours dans le même registre de la candidature de son mentor, Dr Mendy dit avoir entendu aussi d'éminents professeurs de Droit notamment le Professeur Juanker dire que nulle part on a parlé d’un mandat de sept ans. « Au finish, si le président Macky Sall décide de se présenter, on ira aux élections. Maintenant, laissons les populations décider », a-t-il défendu.
«Je pense que je vais emprunter les mots, la phrase du président Macky Sall aux États-Unis. Je suis tout à fait d'accord avec lui, sa candidature n'est plus une question juridique. Et cela, l'article 27 de la Constitution l’a réglé », a-t-il souligné. Mieux, explique Dr Mendy, « la décision du Conseil constitutionnel du 12 février 2016 règle cette question ». «C'est vrai, le débat est là. D'aucuns disent que l'article 27 stipule que "nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs". Mais en réalité sur cet article 27 là, eux ils prennent seulement l’alinéa qui les intéresse parce que l'article 27 dans la globalité est constitué de deux alinéas. Le premier alinéa dit quoi : la durée du mandat du président de la République est de 5 ans. Le deuxième alinéa nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. Mais au-delà de cet article 27, la décision du Conseil constitutionnel du 12 février 2016 était relative au projet de constitution que le président de la République leur avait transmis pour avis. Sur ce projet existait un alinéa qui demandait à cette constitution de prendre en compte le mandat en cours de sept ans. Au niveau de la Constitution au paragraphe 30, il est bien écrit quelque part que cette constitution n'était pas à la portée du mandat (septennat: NDLR) en cours. Donc ça ne peut pas rétrograder pour prendre en compte le mandat de sept ans. Mais aussi sur cette même décision, si vous allez à l'article 3, il est bien écrit que la constitution actuelle ne peut pas prendre en compte le mandat en cours. Donc c'est clair. Donc au vu de tout ça, de la décision du Conseil constitutionnel du 12 février 2016 et de l'article 27, moi je pense que le président Macky Sall a droit à un autre quinquennat », a-t-il développé. « Le président Macky Sall peut se représenter en 2024 pour un mandat de cinq ans. Rien ne peut l'empêcher de la faire », enchaine-t-il. « Donc pour moi, je ne suis plus à l'étape de : est-ce que le président peut se représenter ? Je suis à l'étape si le président Macky Sall accepte de se présenter, comment faire pour réélire ? », se demande-t-il. Le débat de la candidature pour moi c'est dépassé ». « Le président Macky Sall pour moi il n'y a ni de plan A ni de plan B. Notre candidat c'est le président Macky Sall pour moi le moment où nous sommes jusqu'à ce que lui il décide autrement », peste le responsable de l’Apr arrêté Ziguinchor.
«Maintenant je vois que des gens veulent ramener le débat à un débat moral. Mais vraiment si on prenait en compte des déclarations contradictoires des uns et des autres. Je pense que déjà Ousmane Sonko et Barthélemy Diaz avaient validé cette candidature depuis très longtemps avant qu'on agite ce débat. Sonko avait dit que Macky Sall a droit à un troisième mandat parce qu'il n'y a pas une disposition dans la constitution qui l'interdit de se présenter en 2024. Barthélemy Diaz est encore plus clair et explicite », a-t-il convoqué non sans appeler à la retenue. Ibrahima Mendy ajoute : « Donc, respectons la Constitution et laissons les questions morales lesquelles ne peuvent être réglées par le président Macky Sall lui-même. C'est une question personnelle ».
Toujours dans le même registre de la candidature de son mentor, Dr Mendy dit avoir entendu aussi d'éminents professeurs de Droit notamment le Professeur Juanker dire que nulle part on a parlé d’un mandat de sept ans. « Au finish, si le président Macky Sall décide de se présenter, on ira aux élections. Maintenant, laissons les populations décider », a-t-il défendu.

