Le ministre du tourisme Mame Mbaye Niang démissionne. Information qui n'est pas encore démentie même si officiellement on doit attendre d'en savoir juste et vrai. Et si sa démission du gouvernement venait à être officiellement confirmée, c'est alors ce jeune entièrement acquis à la cause de son leader Macky Sall qui entre par la grande porte dans l'histoire.
Pour autant que les raisons de son départ s'expliquent entre autres faits de scandales relatifs aux malversations de plusieurs formes dont la presse a fait cas dernièrement. Oublions cependant les fautes prétendues du héros du jour pour nous intéresser au caractère responsable de l'acte que vient de poser ce jeune ministre qui ne devrait pas être le seul à mettre à l'aise le Chef de L'Etat dont l'image de gestionnaire vertueux est par moment sapé par les dégâts causés par ceux à qui il doit peu de choses.
Démission d'une élégance républicaine incontestée , le départ du gouvernement du jadis voix forte de la jeunesse de l'Apr est une leçon servie dans l’amphithéâtre public d'un pays où les ministres refusent de démissionner même trempés jusqu'au cou. S'il est vrai que Mame Mbaye Niang est parti de son propre chef ou par convenance personnelle, le décès de l'étudiant Fallou Sene où on attendait les ministres des finances et de l'enseignement supérieur démissionner, a de quoi positionner le désormais ex patron du tourisme en exemple.
On ne démissionne pas après avoir défié publiquement l'autorité. C'est en cela que M. Niang gagne devant M Thierno Alassane Sall. A toute chose malheur est bon. Voilà que Mame Mbaye Niang montre par le courage que partir d'un gouvernement dont on a été membre par la volonté de son président de la République relève de la noblesse.
Advienne que pourra. Car après le départ l'autre débat devrait être relatif à sa responsabilité dans le dossier lié à la gestion des fonds du Prodac. Jean Pierre Senghor a eu à couler pour ses fautes de gestion au Prodac sous la tutelle de Mame Mbaye Niang alors ministre de la jeunesse qui aurait été derrière la chute.
Par Khalil DIEME journaliste à Exclusif.net
Pour autant que les raisons de son départ s'expliquent entre autres faits de scandales relatifs aux malversations de plusieurs formes dont la presse a fait cas dernièrement. Oublions cependant les fautes prétendues du héros du jour pour nous intéresser au caractère responsable de l'acte que vient de poser ce jeune ministre qui ne devrait pas être le seul à mettre à l'aise le Chef de L'Etat dont l'image de gestionnaire vertueux est par moment sapé par les dégâts causés par ceux à qui il doit peu de choses.
Démission d'une élégance républicaine incontestée , le départ du gouvernement du jadis voix forte de la jeunesse de l'Apr est une leçon servie dans l’amphithéâtre public d'un pays où les ministres refusent de démissionner même trempés jusqu'au cou. S'il est vrai que Mame Mbaye Niang est parti de son propre chef ou par convenance personnelle, le décès de l'étudiant Fallou Sene où on attendait les ministres des finances et de l'enseignement supérieur démissionner, a de quoi positionner le désormais ex patron du tourisme en exemple.
On ne démissionne pas après avoir défié publiquement l'autorité. C'est en cela que M. Niang gagne devant M Thierno Alassane Sall. A toute chose malheur est bon. Voilà que Mame Mbaye Niang montre par le courage que partir d'un gouvernement dont on a été membre par la volonté de son président de la République relève de la noblesse.
Advienne que pourra. Car après le départ l'autre débat devrait être relatif à sa responsabilité dans le dossier lié à la gestion des fonds du Prodac. Jean Pierre Senghor a eu à couler pour ses fautes de gestion au Prodac sous la tutelle de Mame Mbaye Niang alors ministre de la jeunesse qui aurait été derrière la chute.
Par Khalil DIEME journaliste à Exclusif.net