
Le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé le lancement officiel d'un programme national de déminage pour la région de la Casamance, une zone marquée par des conflits armés depuis plusieurs décennies. Selon Sonko, cette initiative sera en grande partie menée par des Sénégalais, ce qui permettra non seulement de réduire les coûts, mais aussi de mobiliser des ressources humaines compétentes et bien formées localement.
Le Premier ministre a précisé que l’opération débutera avec les ressources internes du pays, tout en soulignant que l'État ne rejette pas la possibilité de solliciter une aide internationale si cela s'avère nécessaire. Le déminage de la Casamance est un enjeu crucial, car les zones minées constituent un danger constant pour les populations locales et freinent le développement économique et social de la région.
Parallèlement, Ousmane Sonko a abordé un autre problème majeur : la situation des déplacés de la Casamance, en particulier ceux qui ont trouvé refuge en Gambie à cause des violences. Selon lui, ces personnes font face à de graves difficultés administratives, notamment en ce qui concerne leurs documents d'état civil. Beaucoup se retrouvent dans une situation de précarité, sans papiers officiels attestant de leur identité, ce qui complique leur accès à des droits fondamentaux tels que l'éducation, la santé, et la propriété.
Pour remédier à cette situation, le Premier ministre a annoncé un programme ambitieux visant à régulariser la situation des déplacés. Ce programme inclura la délivrance de documents d’état civil et la facilitation de leur réintégration dans le système administratif sénégalais. Le gouvernement souhaite ainsi garantir que tous les déplacés, qu'ils se trouvent au Sénégal ou en Gambie, puissent bénéficier de leurs droits civiques et obtenir l'assistance nécessaire pour leur régularisation.
Ces mesures s'inscrivent dans un ensemble d'initiatives visant à reconstruire la Casamance tout en facilitant le retour des déplacés dans un environnement sécurisé.
Le Premier ministre a précisé que l’opération débutera avec les ressources internes du pays, tout en soulignant que l'État ne rejette pas la possibilité de solliciter une aide internationale si cela s'avère nécessaire. Le déminage de la Casamance est un enjeu crucial, car les zones minées constituent un danger constant pour les populations locales et freinent le développement économique et social de la région.
Parallèlement, Ousmane Sonko a abordé un autre problème majeur : la situation des déplacés de la Casamance, en particulier ceux qui ont trouvé refuge en Gambie à cause des violences. Selon lui, ces personnes font face à de graves difficultés administratives, notamment en ce qui concerne leurs documents d'état civil. Beaucoup se retrouvent dans une situation de précarité, sans papiers officiels attestant de leur identité, ce qui complique leur accès à des droits fondamentaux tels que l'éducation, la santé, et la propriété.
Pour remédier à cette situation, le Premier ministre a annoncé un programme ambitieux visant à régulariser la situation des déplacés. Ce programme inclura la délivrance de documents d’état civil et la facilitation de leur réintégration dans le système administratif sénégalais. Le gouvernement souhaite ainsi garantir que tous les déplacés, qu'ils se trouvent au Sénégal ou en Gambie, puissent bénéficier de leurs droits civiques et obtenir l'assistance nécessaire pour leur régularisation.
Ces mesures s'inscrivent dans un ensemble d'initiatives visant à reconstruire la Casamance tout en facilitant le retour des déplacés dans un environnement sécurisé.