C'est au tour du Maroc de condamner la publication de caricatures du prophète Mahomet. Suite au discours d'Emmanuel Macron sur la liberté d'expression et les caricatures lors de la cérémonie d'hommage à Samuel Paty, les tensions se multiplient au Moyen-Orient.
En Turquie, Recep Tayip Erdogan a invoqué la "santé mentale" du président français, à Gaza le Hamas a indiqué que "insulter les religions et les prophètes ne relève pas de la liberté d'expression mais favorise plutôt une culture de la haine". Alors que les appels au boycott se répandent sur les réseaux sociaux et dans le Moyen-Orient, dimanche 25 octobre, le ministère des Affaires étrangères marocain a partagé un communiqué où il “dénonce ces actes qui reflètent l’immaturité de leurs auteurs, et réaffirme que la liberté des uns s’arrête là où commencent la liberté et les croyances des autres”. Le Premier ministre marocain, Saad Dine El Otmani, a lui aussi relayé le communiqué sur Twitter.
En Turquie, Recep Tayip Erdogan a invoqué la "santé mentale" du président français, à Gaza le Hamas a indiqué que "insulter les religions et les prophètes ne relève pas de la liberté d'expression mais favorise plutôt une culture de la haine". Alors que les appels au boycott se répandent sur les réseaux sociaux et dans le Moyen-Orient, dimanche 25 octobre, le ministère des Affaires étrangères marocain a partagé un communiqué où il “dénonce ces actes qui reflètent l’immaturité de leurs auteurs, et réaffirme que la liberté des uns s’arrête là où commencent la liberté et les croyances des autres”. Le Premier ministre marocain, Saad Dine El Otmani, a lui aussi relayé le communiqué sur Twitter.