L'intrusion spectaculaire au Trésor public secoue le pays, soulevant de nombreuses questions sur la sécurité des institutions. Alors que l'enquête progresse, la police technique et scientifique s'attelle à identifier l'auteur de ce coup audacieux. Une silhouette sur laquelle il faut désormais mettre un visage.
Ces dernières 48 heures, les Sénégalais n'ont cessé de débattre, que ce soit à la maison, à la télévision ou à la radio, tentant de comprendre l'impensable : comment le Trésor public, un service aussi névralgique de l'État, a-t-il pu être cambriolé ? Comment des intrus ont-ils réussi à s'emparer d'ordinateurs de la Division de l'Informatique, où sont centralisées les opérations numériques ? Un coup d'une audace inédite qui a provoqué un véritable séisme institutionnel et déclenché une avalanche de communiqués, tentant en vain d'apaiser l'opinion publique.
Des questions qui persistent
Face à l'onde de choc, la Sûreté urbaine s'est lancée dans une enquête diligente, épluchant témoignages et indices jusqu'à une percée décisive. Les caméras de surveillance ont révélé une piste sérieuse, resserrant ainsi l'étau autour de l'auteur de ce braquage feutré, un individu qui semblait connaître les lieux comme sa poche.
Pourtant, des zones d'ombre subsistent : s'agit-il d'un agent du Trésor ? A-t-il agi en mission, muni d'informations précises sur l'environnement et l'emplacement exact des bureaux ciblés ? Ou bien est-ce un simple quidam ayant minutieusement échafaudé son plan pour dévaliser les bureaux du défunt chef de division et de ses collaborateurs ? Mystère et boule de gomme !
Une enquête technique et scientifique minutieuse
Pour élucider cette affaire qui a secoué tout le pays, jusqu'à la diaspora, les limiers de la Sûreté urbaine ont combiné enquête classique et investigations techniques. Une équipe spécialisée a analysé des heures d'images issues des caméras de surveillance de la Direction de l'informatique du Trésor public.
Une attention particulière a également été portée aux enregistrements d'un multiservice situé juste en face du bâtiment. Ces efforts ont fini par payer : les vidéos, exploitées avec minutie, ont révélé les minutes clés du cambriolage, offrant une silhouette fugace mais révélatrice.
Un scénario digne d'un film
Les images montrent un homme avançant prudemment vers un arbre sous l'immeuble R+3 abritant la Direction de l'informatique. Sur ses gardes, il jette des regards furtifs pour s'assurer que personne ne rôde dans les parages. Avec une agilité déconcertante, il grimpe le long de l'arbre, atteint le balcon du premier étage et s'infiltre dans le bâtiment.
L'individu, qui semble parfaitement connaître les lieux, évolue sans hésitation. Sur la pointe des pieds, il emprunte les escaliers et se retrouve au deuxième étage. Profitant de l'absence du personnel, rentré chez lui à cette heure de la nuit, et sans éveiller les soupçons des agents de sécurité – un membre du GMI et un vigile –, il visite les bureaux un à un. L'opération est rapide.
Visiblement inquiet d'être surpris, l'intrus ne s'attarde pas. On l'aperçoit une dernière fois sur les images, rebroussant chemin avec la même discrétion, empruntant exactement l'itinéraire par lequel il était entré.
Identifier l'intrus, un défi de taille
Si les enquêteurs peuvent se féliciter de cette avancée majeure, l'essentiel du travail reste encore à faire : identifier la silhouette furtive qui s'est introduite nuitamment dans les locaux de la Direction de l'informatique du Trésor. Un défi de taille, mais que la police technique et scientifique espère relever, selon des sources de L'Observateur, grâce à un précieux levier d'identification.
Alors que le pays retient son souffle, l'issue de cette enquête s'annonce déterminante pour restaurer la confiance dans les institutions publiques et renforcer la sécurité des sites sensibles.
Ces dernières 48 heures, les Sénégalais n'ont cessé de débattre, que ce soit à la maison, à la télévision ou à la radio, tentant de comprendre l'impensable : comment le Trésor public, un service aussi névralgique de l'État, a-t-il pu être cambriolé ? Comment des intrus ont-ils réussi à s'emparer d'ordinateurs de la Division de l'Informatique, où sont centralisées les opérations numériques ? Un coup d'une audace inédite qui a provoqué un véritable séisme institutionnel et déclenché une avalanche de communiqués, tentant en vain d'apaiser l'opinion publique.
Des questions qui persistent
Face à l'onde de choc, la Sûreté urbaine s'est lancée dans une enquête diligente, épluchant témoignages et indices jusqu'à une percée décisive. Les caméras de surveillance ont révélé une piste sérieuse, resserrant ainsi l'étau autour de l'auteur de ce braquage feutré, un individu qui semblait connaître les lieux comme sa poche.
Pourtant, des zones d'ombre subsistent : s'agit-il d'un agent du Trésor ? A-t-il agi en mission, muni d'informations précises sur l'environnement et l'emplacement exact des bureaux ciblés ? Ou bien est-ce un simple quidam ayant minutieusement échafaudé son plan pour dévaliser les bureaux du défunt chef de division et de ses collaborateurs ? Mystère et boule de gomme !
Une enquête technique et scientifique minutieuse
Pour élucider cette affaire qui a secoué tout le pays, jusqu'à la diaspora, les limiers de la Sûreté urbaine ont combiné enquête classique et investigations techniques. Une équipe spécialisée a analysé des heures d'images issues des caméras de surveillance de la Direction de l'informatique du Trésor public.
Une attention particulière a également été portée aux enregistrements d'un multiservice situé juste en face du bâtiment. Ces efforts ont fini par payer : les vidéos, exploitées avec minutie, ont révélé les minutes clés du cambriolage, offrant une silhouette fugace mais révélatrice.
Un scénario digne d'un film
Les images montrent un homme avançant prudemment vers un arbre sous l'immeuble R+3 abritant la Direction de l'informatique. Sur ses gardes, il jette des regards furtifs pour s'assurer que personne ne rôde dans les parages. Avec une agilité déconcertante, il grimpe le long de l'arbre, atteint le balcon du premier étage et s'infiltre dans le bâtiment.
L'individu, qui semble parfaitement connaître les lieux, évolue sans hésitation. Sur la pointe des pieds, il emprunte les escaliers et se retrouve au deuxième étage. Profitant de l'absence du personnel, rentré chez lui à cette heure de la nuit, et sans éveiller les soupçons des agents de sécurité – un membre du GMI et un vigile –, il visite les bureaux un à un. L'opération est rapide.
Visiblement inquiet d'être surpris, l'intrus ne s'attarde pas. On l'aperçoit une dernière fois sur les images, rebroussant chemin avec la même discrétion, empruntant exactement l'itinéraire par lequel il était entré.
Identifier l'intrus, un défi de taille
Si les enquêteurs peuvent se féliciter de cette avancée majeure, l'essentiel du travail reste encore à faire : identifier la silhouette furtive qui s'est introduite nuitamment dans les locaux de la Direction de l'informatique du Trésor. Un défi de taille, mais que la police technique et scientifique espère relever, selon des sources de L'Observateur, grâce à un précieux levier d'identification.
Alors que le pays retient son souffle, l'issue de cette enquête s'annonce déterminante pour restaurer la confiance dans les institutions publiques et renforcer la sécurité des sites sensibles.