Le président de la Cour suprême de justice de Guinée-Bissau (STJ), José Pedro Sambú, n'a pas pu résister à la dernière crise interne de cet organe judiciaire et s'en va presque deux ans après son entrée en fonction.
L'information est contenue dans une lettre de démission remise aujourd'hui à la Présidence de la République, à l'Assemblée populaire nationale (ANP) et à l'Exécutif, mais à laquelle la presse a eu accès.
"Dans ce contexte, je vous informe des raisons qui m'ont conduit à cette décision, qui consistent essentiellement en les événements qui ont commencé le 19 octobre, au cours desquels s'est tenue une réunion qui avait été annulée par le président du STJ, contrairement aux loi", a-t-il déclaré.
"En revanche, le 3 novembre, un groupe d'hommes armés des forces de défense et de sécurité m'a empêché de sortir de chez moi pour aller travailler, en l'occurrence mon bureau dans les locaux du STJ, sans toutefois exhiber un mandat d'arrêt
L'information est contenue dans une lettre de démission remise aujourd'hui à la Présidence de la République, à l'Assemblée populaire nationale (ANP) et à l'Exécutif, mais à laquelle la presse a eu accès.
"Dans ce contexte, je vous informe des raisons qui m'ont conduit à cette décision, qui consistent essentiellement en les événements qui ont commencé le 19 octobre, au cours desquels s'est tenue une réunion qui avait été annulée par le président du STJ, contrairement aux loi", a-t-il déclaré.
"En revanche, le 3 novembre, un groupe d'hommes armés des forces de défense et de sécurité m'a empêché de sortir de chez moi pour aller travailler, en l'occurrence mon bureau dans les locaux du STJ, sans toutefois exhiber un mandat d'arrêt