Le fondateur du think tank Afrikajom Center, Alioune Tine, a reçu dans ses locaux Badara Gadiaga, chroniqueur de l’émission Jakarlo, saluant en lui non seulement un militant historique du M23, mais également une figure de la scène politique médiatique sénégalaise. L’ancien président de la RADDHO a tenu à souligner la richesse du parcours et la puissance d’expression de celui qu’il considère comme un acteur à part entière du débat démocratique.
« J'ai eu le grand plaisir de recevoir à Afrikajom Center Badara Gadiaga, le redoutable chroniqueur de l'émission Jakarlo », a déclaré Alioune Tine. Il rappelle que Badara Gadiaga n’est pas un nouveau venu dans l’engagement citoyen : « Badara faisait partie des plus jeunes militants du M23 avec les Aida Niang. ».
L’émission Jakarlo, très suivie par le public sénégalais, est décrite par Tine comme une véritable scène politique théâtralisée. « Jakarlo c'est une arène avec une mise en scène de la politique, avec les acteurs qui s'affrontent. Un spectacle que les Sénégalais attendent et suivent », a-t-il observé, soulignant l’impact médiatique et populaire de cette tribune télévisée.
Mais au-delà du plateau, c’est la performance verbale de Gadiaga que Tine met à l’honneur. « Badara Gadiaga, c'est d'abord un artiste et une icône de cet exercice qu'il maîtrise, qu'il travaille et qu'il performe. L'art de la mise en scène de soi et de la parole, la maîtrise de la langue et de l'argumentation, bref, de la rhétorique wolof. »
Pour le fondateur d’Afrikajom Center, ce type d’engagement dans l’espace public contribue à la valorisation des langues nationales, en particulier dans la sphère politique. « On valorise les langues nationales avec les émissions ; on en fait les langues par excellence de la politique et de la démocratie. »
Alioune Tine conclut son hommage en lançant un appel clair à la reconnaissance de ces formes d’expression comme leviers de transformation politique. « C'est là qu'il faut placer les défis et c'est dans cet espace politique qu'il faut les relever, et pas ailleurs. »
« J'ai eu le grand plaisir de recevoir à Afrikajom Center Badara Gadiaga, le redoutable chroniqueur de l'émission Jakarlo », a déclaré Alioune Tine. Il rappelle que Badara Gadiaga n’est pas un nouveau venu dans l’engagement citoyen : « Badara faisait partie des plus jeunes militants du M23 avec les Aida Niang. ».
L’émission Jakarlo, très suivie par le public sénégalais, est décrite par Tine comme une véritable scène politique théâtralisée. « Jakarlo c'est une arène avec une mise en scène de la politique, avec les acteurs qui s'affrontent. Un spectacle que les Sénégalais attendent et suivent », a-t-il observé, soulignant l’impact médiatique et populaire de cette tribune télévisée.
Mais au-delà du plateau, c’est la performance verbale de Gadiaga que Tine met à l’honneur. « Badara Gadiaga, c'est d'abord un artiste et une icône de cet exercice qu'il maîtrise, qu'il travaille et qu'il performe. L'art de la mise en scène de soi et de la parole, la maîtrise de la langue et de l'argumentation, bref, de la rhétorique wolof. »
Pour le fondateur d’Afrikajom Center, ce type d’engagement dans l’espace public contribue à la valorisation des langues nationales, en particulier dans la sphère politique. « On valorise les langues nationales avec les émissions ; on en fait les langues par excellence de la politique et de la démocratie. »
Alioune Tine conclut son hommage en lançant un appel clair à la reconnaissance de ces formes d’expression comme leviers de transformation politique. « C'est là qu'il faut placer les défis et c'est dans cet espace politique qu'il faut les relever, et pas ailleurs. »