Au Sénégal, des gros bras sont utilisés par des partis politiques pour assurer la sécurité de leurs leaders. Mais sous Macky Sall , on voit des nervis avec des armes. Sur les derniers événements, ils étaient plus nombreux et avaient meme organisé une parade à travers les rues de Dakar sous les regards impuissants de la population. Sur des images qui ont fait le tour du monde on voit d'autres nervis menaient leurs opérations aux cotés des FDS . Une première au Sénégal.
Ces nervis qui prenaient départ à chaque fois devant le siège de l'APR à Dakar. étaient visibles lors des manifestations de Pastef ou lors des convocations du leader de Pastef au tribunal. Ils font régner la terreur. En conférence de presse, ces nervis sont souvent défendus par presque tous les ministres et DG du Président Macky Sall malgré la gravité de leurs actes.
Certainement ces partisans du Chef de l'Etat défendaient ces nervis en ignorant les raisons de la crise armée constatée dans certains pays comme le pays de Jovenel Moïse (Haïti). Exclusif.net vous retrace la source de l'instabilité qui a dévasté ce beau pays où les hommes politiques utilisaient des gros bras aussi pour assurer leur sécurité.
Ce que les gens de l'APR doivent savoir...
Jean Bertrand Aristide ancien Président de la République (2000-2004) avait fourni des armes en grand nombre à des jeunes, en échange de leur support. Ces armes ont par la même occasion donné l’opportunité à des groupes de s’impliquer dans des actions violentes et des crimes. Quelques années ces bandes sont devenues puissantes et incontrôlables . Le Président Aristide, lui meme accusé d'avoir mis en place ces bandes armes a lancé une opération de répression contre les gangs armés et, par la même occasion, contre des opposants. Cette politique de zéro tolérance, lancée seulement quelques mois après la seconde investiture du président, a donné lieu à son lot de violences : on lynchait et brûlait vif de présumés bandits, au moindre soupçon. Au lendemain du départ d’Aristide en 2004, une nouvelle forme d’insécurité a pris forme et s’est amplifiée : les kidnappings contre demande de rançon.
Entre l’État et les groupes armés, particulièrement les gangs, la relation n’en est pas toujours une de haine. En juin 2020, en pleine pandémie de Covid-19, une coalition de gangs a été créée dans la capitale haïtienne. Avant cet étrange regroupement, appelé G9, chacun des gangs semait le trouble dans sa zone d’influence, s’attaquant parfois à de nouveaux territoires.
Au Sénégal, malgré les arguments de certains ministres et DG, les reportages des médias comme " France 24, Le monde, New York Times..."ont démontré l'implication des nervis lors de la dernière tuerie où plus de 20 personnes ont perdu la vie. D'ailleurs les parents des victimes comptent saisir la CPI. L'Etat du Sénégal doit prendre les devants sur ces nervis.
Ces nervis qui prenaient départ à chaque fois devant le siège de l'APR à Dakar. étaient visibles lors des manifestations de Pastef ou lors des convocations du leader de Pastef au tribunal. Ils font régner la terreur. En conférence de presse, ces nervis sont souvent défendus par presque tous les ministres et DG du Président Macky Sall malgré la gravité de leurs actes.
Certainement ces partisans du Chef de l'Etat défendaient ces nervis en ignorant les raisons de la crise armée constatée dans certains pays comme le pays de Jovenel Moïse (Haïti). Exclusif.net vous retrace la source de l'instabilité qui a dévasté ce beau pays où les hommes politiques utilisaient des gros bras aussi pour assurer leur sécurité.
Ce que les gens de l'APR doivent savoir...
Jean Bertrand Aristide ancien Président de la République (2000-2004) avait fourni des armes en grand nombre à des jeunes, en échange de leur support. Ces armes ont par la même occasion donné l’opportunité à des groupes de s’impliquer dans des actions violentes et des crimes. Quelques années ces bandes sont devenues puissantes et incontrôlables . Le Président Aristide, lui meme accusé d'avoir mis en place ces bandes armes a lancé une opération de répression contre les gangs armés et, par la même occasion, contre des opposants. Cette politique de zéro tolérance, lancée seulement quelques mois après la seconde investiture du président, a donné lieu à son lot de violences : on lynchait et brûlait vif de présumés bandits, au moindre soupçon. Au lendemain du départ d’Aristide en 2004, une nouvelle forme d’insécurité a pris forme et s’est amplifiée : les kidnappings contre demande de rançon.
Entre l’État et les groupes armés, particulièrement les gangs, la relation n’en est pas toujours une de haine. En juin 2020, en pleine pandémie de Covid-19, une coalition de gangs a été créée dans la capitale haïtienne. Avant cet étrange regroupement, appelé G9, chacun des gangs semait le trouble dans sa zone d’influence, s’attaquant parfois à de nouveaux territoires.
Au Sénégal, malgré les arguments de certains ministres et DG, les reportages des médias comme " France 24, Le monde, New York Times..."ont démontré l'implication des nervis lors de la dernière tuerie où plus de 20 personnes ont perdu la vie. D'ailleurs les parents des victimes comptent saisir la CPI. L'Etat du Sénégal doit prendre les devants sur ces nervis.