L'Union européenne (UE) a récemment annoncé sa décision de ne pas renouveler les accords de pêche avec le Sénégal, une déclaration qui a rapidement suscité des réactions au sein de la classe politique sénégalaise. Pour le Premier ministre Ousmane Sonko, cette décision reflète avant tout la volonté de l'UE de "sauver les apparences".
Lors d'une étape de sa caravane électorale à Grand Yoff, Ousmane Sonko a exprimé ses doutes sur les véritables motivations de l'Union européenne. « Nos pêcheurs peinaient à trouver de bons poissons dans notre océan, ce qui les poussait à envisager l'émigration clandestine. Avant-hier, l'Union européenne a annoncé qu'elle ne renouvellerait pas l'accord de pêche, mais en réalité, c'est pour ne pas perdre la face », a-t-il déclaré, imputant à l'UE une part de responsabilité dans la raréfaction des ressources halieutiques.
Le leader de Pastef a également rappelé que le Sénégal avait déjà pris la décision de ne pas reconduire cet accord dans les mêmes termes, estimant qu'il n'était pas avantageux pour le pays. « Nous leur avons clairement indiqué que l'accord de pêche prend fin en novembre et qu'il ne sera pas renouvelé sous les mêmes conditions, car cela va à l'encontre de nos intérêts. C'est cela, la vérité », a-t-il souligné.
Cette position marque un tournant dans la volonté du Sénégal de protéger ses ressources maritimes et de lutter contre la surpêche, tout en réduisant les facteurs incitant à l'émigration clandestine.
Lors d'une étape de sa caravane électorale à Grand Yoff, Ousmane Sonko a exprimé ses doutes sur les véritables motivations de l'Union européenne. « Nos pêcheurs peinaient à trouver de bons poissons dans notre océan, ce qui les poussait à envisager l'émigration clandestine. Avant-hier, l'Union européenne a annoncé qu'elle ne renouvellerait pas l'accord de pêche, mais en réalité, c'est pour ne pas perdre la face », a-t-il déclaré, imputant à l'UE une part de responsabilité dans la raréfaction des ressources halieutiques.
Le leader de Pastef a également rappelé que le Sénégal avait déjà pris la décision de ne pas reconduire cet accord dans les mêmes termes, estimant qu'il n'était pas avantageux pour le pays. « Nous leur avons clairement indiqué que l'accord de pêche prend fin en novembre et qu'il ne sera pas renouvelé sous les mêmes conditions, car cela va à l'encontre de nos intérêts. C'est cela, la vérité », a-t-il souligné.
Cette position marque un tournant dans la volonté du Sénégal de protéger ses ressources maritimes et de lutter contre la surpêche, tout en réduisant les facteurs incitant à l'émigration clandestine.