L’atelier préparatoire du forum de l’infrastructure de haute qualité, organisé par l’Ageroute, a été une occasion pour le tout nouveau ministre de ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Abdoulaye Daouda Diallo de révéler son plan d’action. Avec le Japon qui est un des partenaires de l’Etat du Sénégal.
Ce lundi des acteurs du secteur du transport et de la construction des infrastructures étaient réunis autour d’un atelier dont le thème : ‘ Infrastructures de haute qualité et possibilité d'investissement au Sénégal’ pour dégager des plans de développement commun. Pour le tout nouveau ministre de ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, « si nous voulons réaliser des avancées significatives dans le domaine des infrastructures, il nous faut adopter des nouvelles manières de penser et d’agir dans la conduite des politiques publiques », a-t-il demandé.
Le ministre prévient que la réalisation de ces infrastructures nécessite une gestion transparente. « Ces politiques doivent non seulement être saines, stables et prévisibles mais aussi transparentes et diligentes. Ce sont les préalables pour inspirer la confiance des citoyens et des partenaires. »
Devant les partenaires, Abdoulaye Daouda Diallo dira qu’il est convaincu que « les infrastructures sont des fondamentaux de l’émergence. Sans ces infrastructures de qualités aucun pays ne peut basculer dans le développement. C’est pourquoi le Sénégal a lancé depuis 2014, le plan Sénégal Emergent (PSE). La mise en œuvre du PSE nécessite des financements importants. »
Le royaume du Japon partenaire stratégique, a l’intention de contribuer à l’installation dans les pays Africains des infrastructures de qualité pour un montant d’environ 10 milliards de FCFA pour le développement régional. Au Sénégal plus 140 milliards sont prévus pour plusieurs secteurs. Une partie de cette manne va contribuer selon nos sources à la réhabilitation du Mole 3 du port autonome de Dakar, fixée à 4 milliards. Tout comme le projet de dessalement de l’Eau de mer de Mammelles pour environ 136 milliards.
Ce lundi des acteurs du secteur du transport et de la construction des infrastructures étaient réunis autour d’un atelier dont le thème : ‘ Infrastructures de haute qualité et possibilité d'investissement au Sénégal’ pour dégager des plans de développement commun. Pour le tout nouveau ministre de ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, « si nous voulons réaliser des avancées significatives dans le domaine des infrastructures, il nous faut adopter des nouvelles manières de penser et d’agir dans la conduite des politiques publiques », a-t-il demandé.
Le ministre prévient que la réalisation de ces infrastructures nécessite une gestion transparente. « Ces politiques doivent non seulement être saines, stables et prévisibles mais aussi transparentes et diligentes. Ce sont les préalables pour inspirer la confiance des citoyens et des partenaires. »
Devant les partenaires, Abdoulaye Daouda Diallo dira qu’il est convaincu que « les infrastructures sont des fondamentaux de l’émergence. Sans ces infrastructures de qualités aucun pays ne peut basculer dans le développement. C’est pourquoi le Sénégal a lancé depuis 2014, le plan Sénégal Emergent (PSE). La mise en œuvre du PSE nécessite des financements importants. »
Le royaume du Japon partenaire stratégique, a l’intention de contribuer à l’installation dans les pays Africains des infrastructures de qualité pour un montant d’environ 10 milliards de FCFA pour le développement régional. Au Sénégal plus 140 milliards sont prévus pour plusieurs secteurs. Une partie de cette manne va contribuer selon nos sources à la réhabilitation du Mole 3 du port autonome de Dakar, fixée à 4 milliards. Tout comme le projet de dessalement de l’Eau de mer de Mammelles pour environ 136 milliards.

