Une marche citoyenne a été organisée dans les rues de Genève par le Front de Résistance de la Diaspora Sénégalaise (FRDS), en réponse à ce qu’il qualifie de “dérives autoritaires” du régime en place à Dakar. Cette mobilisation, baptisée “l’Appel de Genève”, marque selon ses initiateurs le début d’une série d’actions destinées à alerter la communauté internationale.
Partie du Palais Wilson, la procession s’est dirigée vers le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, réunissant des Sénégalais de la diaspora venus faire entendre leur voix contre “la restriction des libertés fondamentales” observée depuis l’arrivée au pouvoir du président Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko.
« Le Sénégal traverse une phase inquiétante de glissement autoritaire », a déclaré l’un des organisateurs. Selon le FRDS, les premiers mois du nouveau pouvoir ont été marqués par « des arrestations massives pour délit d’opinion, des intimidations ciblées, et une tentative de musellement de la presse indépendante par la fermeture brutale de centaines de chaînes en ligne ».
Dans leur déclaration, les membres du mouvement ont également dénoncé « l’asphyxie économique des maisons de presse à travers une pression fiscale instrumentalisée » ainsi que « la non-exécution prolongée des paiements dus dans le cadre de conventions signées ». Ces pratiques, selon eux, compromettent « le pluralisme et la liberté d’expression ».
Le choix de Genève comme lieu de lancement n’est pas anodin. « C’est ici, dans la ville de Jean-Jacques Rousseau, penseur du Contrat social, que nous avons décidé d’alerter la conscience mondiale », a souligné un des représentants du FRDS. « Nous voulons rappeler que l’État de droit, les libertés publiques et le respect du pluralisme ne sont pas négociables ».
Le FRDS a lancé un appel pressant à l’endroit des instances onusiennes, de la communauté internationale, ainsi que de toutes les forces démocratiques : « Nous demandons que la promesse démocratique née des urnes en mars 2024 ne se transforme pas en un nouvel épisode d’oppression ».
Concluant leur communiqué, les organisateurs ont averti que cette action n’est qu’un prélude : « L’Appel de Genève n’est que le début d’une mobilisation citoyenne déterminée et transnationale pour la sauvegarde des libertés au Sénégal ».
Partie du Palais Wilson, la procession s’est dirigée vers le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, réunissant des Sénégalais de la diaspora venus faire entendre leur voix contre “la restriction des libertés fondamentales” observée depuis l’arrivée au pouvoir du président Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko.
« Le Sénégal traverse une phase inquiétante de glissement autoritaire », a déclaré l’un des organisateurs. Selon le FRDS, les premiers mois du nouveau pouvoir ont été marqués par « des arrestations massives pour délit d’opinion, des intimidations ciblées, et une tentative de musellement de la presse indépendante par la fermeture brutale de centaines de chaînes en ligne ».
Dans leur déclaration, les membres du mouvement ont également dénoncé « l’asphyxie économique des maisons de presse à travers une pression fiscale instrumentalisée » ainsi que « la non-exécution prolongée des paiements dus dans le cadre de conventions signées ». Ces pratiques, selon eux, compromettent « le pluralisme et la liberté d’expression ».
Le choix de Genève comme lieu de lancement n’est pas anodin. « C’est ici, dans la ville de Jean-Jacques Rousseau, penseur du Contrat social, que nous avons décidé d’alerter la conscience mondiale », a souligné un des représentants du FRDS. « Nous voulons rappeler que l’État de droit, les libertés publiques et le respect du pluralisme ne sont pas négociables ».
Le FRDS a lancé un appel pressant à l’endroit des instances onusiennes, de la communauté internationale, ainsi que de toutes les forces démocratiques : « Nous demandons que la promesse démocratique née des urnes en mars 2024 ne se transforme pas en un nouvel épisode d’oppression ».
Concluant leur communiqué, les organisateurs ont averti que cette action n’est qu’un prélude : « L’Appel de Genève n’est que le début d’une mobilisation citoyenne déterminée et transnationale pour la sauvegarde des libertés au Sénégal ».