Convoqué hier matin, Cheikh Hadjibou Soumaré a été placé en garde à vue sur instruction du procureur dans les locaux de la Sûreté urbaine. Ce, après avoir interpellé le chef de l’Etat Macky Sall concernant un supposé financement qu’il aurait accordé à Marine Le Pen. Face aux enquêteurs, il s’est gardé de dévoiler le nom de la «personnalité politique française» et de fournir les bases de ces allégations.
Au cours de son audition qui a duré de 10 h à 13 heures, l’ex Premier ministre est resté dans le questionnement. Il a confié aux enquêteurs qu’il n’a fait que poser des questions pour interpeller le président de la république, rapporte Libération. Selon lui, ces questionnements, c’est pour avoir des éclairages. Quand les policiers lui ont posé s’il avait des preuves, il a rétorqué qu’il a posé des questions et émis, par la suite, des hypothèses.
Contrairement aux allégations d'une presse et des acteurs politiques proches du régime de l'APR, l'ancien PM a confié qu’il a interpellé le chef de l’Etat en tant que chef de parti et qu’il appartient à Macky Sall d’éclairer les Sénégalais. "Je n'ai posé que des questions et j'attends toujours mes réponses(...) En ma qualité d'homme politique et Chef d'un mouvement politique j'ai le droit d'interpeller le Président de la république. J'assume tout qui a été dit dans ma lettre", a dit l'ancien Président de l'UEMOA. Le Quotidien le Temoin rapporte aussi que l'audition dans les locaux de la SU.
Au cours de son audition qui a duré de 10 h à 13 heures, l’ex Premier ministre est resté dans le questionnement. Il a confié aux enquêteurs qu’il n’a fait que poser des questions pour interpeller le président de la république, rapporte Libération. Selon lui, ces questionnements, c’est pour avoir des éclairages. Quand les policiers lui ont posé s’il avait des preuves, il a rétorqué qu’il a posé des questions et émis, par la suite, des hypothèses.
Contrairement aux allégations d'une presse et des acteurs politiques proches du régime de l'APR, l'ancien PM a confié qu’il a interpellé le chef de l’Etat en tant que chef de parti et qu’il appartient à Macky Sall d’éclairer les Sénégalais. "Je n'ai posé que des questions et j'attends toujours mes réponses(...) En ma qualité d'homme politique et Chef d'un mouvement politique j'ai le droit d'interpeller le Président de la république. J'assume tout qui a été dit dans ma lettre", a dit l'ancien Président de l'UEMOA. Le Quotidien le Temoin rapporte aussi que l'audition dans les locaux de la SU.