L’Organisation des Paysans du Sénégal (OPS) a appelé le gouvernement à s’inspirer du modèle coréen de coopératives agricoles pour assurer le bon fonctionnement des 1000 CPS, lancées vendredi dernier à Koumpentoum. « Si nous mettons en œuvre ce modèle, d’ici deux ans, nous pourrons redynamiser le secteur primaire et renforcer l’économie du pays », a recommandé Samba Diop, secrétaire général adjoint de l’OPS.
Le lancement des Coopératives Productives Solidaires (CPS) a été salué par l’OPS, qui travaille sur cette question depuis huit ans. Selon ses membres, ces coopératives créeront les conditions de l’autonomisation des acteurs du secteur primaire. « Nous saluons le lancement de ces coopératives et le fait que le gouvernement prenne en compte cet aspect fondamental du secteur primaire. Cela permettra aux paysans, aux pasteurs et aux pêcheurs d’évoluer dans une dynamique de coopération qui les rendra autonomes et souverains », a déclaré Samba Diop.
Pour faire des CPS un véritable levier de développement local, comme l’a annoncé le Premier ministre lors du lancement à Koumpentoum, l’OPS plaide pour l’adoption du modèle coréen. « Nous nous inspirons du modèle coréen. C’est ce modèle que nous théorisons et que nous pratiquons. Nous disposons de documents et de modules de formation pratiques à ce sujet », a souligné Samba Diop.
En Corée du Sud, a-t-il expliqué, les coopératives disposent de ressources suffisantes pour prêter de l’argent à l’État. « Partout dans le monde, ce sont les coopératives qui dynamisent l’économie. Nous espérons qu’il en sera de même au Sénégal. Si ce modèle est appliqué, nous pourrons, d’ici deux ans, revitaliser le secteur primaire et renforcer l’économie nationale », a-t-il ajouté.
Toutefois, Samba Diop a déploré le manque de concertation et a invité le secrétaire d’État aux Coopératives et à l’Encadrement paysan à impliquer l’OPS dans la mise en œuvre des CPS. « Nous tendons la main au gouvernement, car nous avons une expérience depuis 2017. Avec notre vécu et les connaissances que nous avons accumulées, nous pouvons contribuer à la stabilisation du modèle coréen que nous préconisons », a-t-il conclu.
Le lancement des Coopératives Productives Solidaires (CPS) a été salué par l’OPS, qui travaille sur cette question depuis huit ans. Selon ses membres, ces coopératives créeront les conditions de l’autonomisation des acteurs du secteur primaire. « Nous saluons le lancement de ces coopératives et le fait que le gouvernement prenne en compte cet aspect fondamental du secteur primaire. Cela permettra aux paysans, aux pasteurs et aux pêcheurs d’évoluer dans une dynamique de coopération qui les rendra autonomes et souverains », a déclaré Samba Diop.
Pour faire des CPS un véritable levier de développement local, comme l’a annoncé le Premier ministre lors du lancement à Koumpentoum, l’OPS plaide pour l’adoption du modèle coréen. « Nous nous inspirons du modèle coréen. C’est ce modèle que nous théorisons et que nous pratiquons. Nous disposons de documents et de modules de formation pratiques à ce sujet », a souligné Samba Diop.
En Corée du Sud, a-t-il expliqué, les coopératives disposent de ressources suffisantes pour prêter de l’argent à l’État. « Partout dans le monde, ce sont les coopératives qui dynamisent l’économie. Nous espérons qu’il en sera de même au Sénégal. Si ce modèle est appliqué, nous pourrons, d’ici deux ans, revitaliser le secteur primaire et renforcer l’économie nationale », a-t-il ajouté.
Toutefois, Samba Diop a déploré le manque de concertation et a invité le secrétaire d’État aux Coopératives et à l’Encadrement paysan à impliquer l’OPS dans la mise en œuvre des CPS. « Nous tendons la main au gouvernement, car nous avons une expérience depuis 2017. Avec notre vécu et les connaissances que nous avons accumulées, nous pouvons contribuer à la stabilisation du modèle coréen que nous préconisons », a-t-il conclu.
