Coup de tonnerre dans la politique migratoire américaine : le secrétaire d'État Marco Rubio a ordonné, mardi, la suspension immédiate du traitement des visas pour les étudiants étrangers, une mesure choc qui s’inscrit dans le durcissement voulu par l’administration du président Donald Trump en matière de sécurité intérieure et de surveillance numérique.
Un document interne, consulté par l’Agence France-Presse (AFP), informe les ambassades et consulats américains de ne plus délivrer de rendez-vous pour les nouveaux visas étudiants ou d’échange scolaire, "jusqu’à nouvel ordre". Cette directive prend effet immédiatement et touche l’ensemble des ressortissants étrangers souhaitant entamer ou poursuivre un cursus académique aux États-Unis.
Cette décision intervient alors que l’administration Trump renforce les contrôles sur les antécédents numériques des candidats, en particulier sur leurs réseaux sociaux. Le Département d’État exige désormais que les postulants fournissent l’ensemble de leurs identifiants sociaux numériques sur les cinq dernières années, une pratique critiquée par plusieurs organisations de défense des libertés civiles.
Cette suspension soulève de vives inquiétudes dans les milieux universitaires américains, dépendants de la présence d’étudiants internationaux, tant pour leurs contributions académiques que financières. Les universités redoutent également une détérioration de la réputation internationale des États-Unis comme destination d'excellence pour les études supérieures.
Du côté des autorités, on évoque une volonté de mieux contrôler les flux migratoires étudiants dans un contexte géopolitique tendu et face à ce que Washington considère comme des risques accrus d’espionnage technologique ou d’ingérences étrangères.
Aucune date n’a été avancée pour la reprise du traitement des visas. Selon des sources diplomatiques, des instructions plus détaillées devraient être communiquées dans les prochains jours.
Un document interne, consulté par l’Agence France-Presse (AFP), informe les ambassades et consulats américains de ne plus délivrer de rendez-vous pour les nouveaux visas étudiants ou d’échange scolaire, "jusqu’à nouvel ordre". Cette directive prend effet immédiatement et touche l’ensemble des ressortissants étrangers souhaitant entamer ou poursuivre un cursus académique aux États-Unis.
Cette décision intervient alors que l’administration Trump renforce les contrôles sur les antécédents numériques des candidats, en particulier sur leurs réseaux sociaux. Le Département d’État exige désormais que les postulants fournissent l’ensemble de leurs identifiants sociaux numériques sur les cinq dernières années, une pratique critiquée par plusieurs organisations de défense des libertés civiles.
Cette suspension soulève de vives inquiétudes dans les milieux universitaires américains, dépendants de la présence d’étudiants internationaux, tant pour leurs contributions académiques que financières. Les universités redoutent également une détérioration de la réputation internationale des États-Unis comme destination d'excellence pour les études supérieures.
Du côté des autorités, on évoque une volonté de mieux contrôler les flux migratoires étudiants dans un contexte géopolitique tendu et face à ce que Washington considère comme des risques accrus d’espionnage technologique ou d’ingérences étrangères.
Aucune date n’a été avancée pour la reprise du traitement des visas. Selon des sources diplomatiques, des instructions plus détaillées devraient être communiquées dans les prochains jours.