Le Département d’État des États-Unis a annoncé aujourd’hui de nouvelles sanctions contre deux individus et deux entités en raison de leur rôle dans la violence et les violations des droits de l’homme dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC). Parmi ceux sanctionnés figurent James Kabarebe, ministre d’État rwandais chargé de l’intégration régionale, et Lawrence Kanyuka Kingston, porte-parole du groupe armé M23 et de l’Alliance du fleuve Congo, ainsi que deux entreprises sous leur contrôle, Kingston Fresh et Kingston Holding.
Depuis la mi-décembre 2024, le M23, soutenu par le Rwanda, a intensifié ses attaques en RDC, notamment en s’emparant de la capitale provinciale du Nord-Kivu, Goma, le 27 janvier, et de la capitale du Sud-Kivu, Bukavu, le 16 février. Cette offensive met en péril l’intégrité territoriale de la RDC, entraînant des souffrances humaines et des pertes tragiques. « Cette agression a non seulement causé des pertes en vies humaines, dont trois soldats de la paix de l'ONU, mais elle a également créé une crise humanitaire avec des milliers de civils tués, blessés ou déplacés, » a déclaré Tammy Bruce, porte-parole du Département d’État.
La violence croissante dans l’est de la RDC menace de se propager à toute la région, ce qui constitue une source d’inquiétude internationale. Les États-Unis ont réitéré leur appel au Rwanda pour qu’il cesse son soutien au M23, déjà désigné par les États-Unis et l'ONU comme un acteur menaçant la stabilité de la région. « Les États-Unis appellent les dirigeants rwandais à retirer immédiatement toutes les troupes des Forces de défense rwandaises du territoire de la RDC et à respecter pleinement la souveraineté de la RDC, » a ajouté Tammy Bruce.
Les États-Unis insistent sur l’importance d’un retour au dialogue sous l’égide du processus de Luanda, soutenu par l’Angola, afin de parvenir à une solution pacifique du conflit. Les sanctions visent également à rappeler aux autorités rwandaises et congolaises l’importance de rendre responsables ceux qui commettent des violations des droits humains.
La persistance de ce conflit déstabilise la région, entrave le développement économique et dissuade les investissements étrangers, notamment américains, dans ces deux pays. « Cette situation constitue une perte non seulement pour la RDC et le Rwanda, mais aussi pour le peuple américain, qui perd des opportunités d'investissement et de coopération économique dans cette région clé, » a conclu la porte-parole.
Ces mesures ont été prises par le Département du Trésor des États-Unis en vertu du décret présidentiel (E.O.) 13413, tel que modifié par l’E.O. 13671. Pour plus de détails sur les sanctions imposées, veuillez consulter le communiqué de presse du Trésor.
Depuis la mi-décembre 2024, le M23, soutenu par le Rwanda, a intensifié ses attaques en RDC, notamment en s’emparant de la capitale provinciale du Nord-Kivu, Goma, le 27 janvier, et de la capitale du Sud-Kivu, Bukavu, le 16 février. Cette offensive met en péril l’intégrité territoriale de la RDC, entraînant des souffrances humaines et des pertes tragiques. « Cette agression a non seulement causé des pertes en vies humaines, dont trois soldats de la paix de l'ONU, mais elle a également créé une crise humanitaire avec des milliers de civils tués, blessés ou déplacés, » a déclaré Tammy Bruce, porte-parole du Département d’État.
La violence croissante dans l’est de la RDC menace de se propager à toute la région, ce qui constitue une source d’inquiétude internationale. Les États-Unis ont réitéré leur appel au Rwanda pour qu’il cesse son soutien au M23, déjà désigné par les États-Unis et l'ONU comme un acteur menaçant la stabilité de la région. « Les États-Unis appellent les dirigeants rwandais à retirer immédiatement toutes les troupes des Forces de défense rwandaises du territoire de la RDC et à respecter pleinement la souveraineté de la RDC, » a ajouté Tammy Bruce.
Les États-Unis insistent sur l’importance d’un retour au dialogue sous l’égide du processus de Luanda, soutenu par l’Angola, afin de parvenir à une solution pacifique du conflit. Les sanctions visent également à rappeler aux autorités rwandaises et congolaises l’importance de rendre responsables ceux qui commettent des violations des droits humains.
La persistance de ce conflit déstabilise la région, entrave le développement économique et dissuade les investissements étrangers, notamment américains, dans ces deux pays. « Cette situation constitue une perte non seulement pour la RDC et le Rwanda, mais aussi pour le peuple américain, qui perd des opportunités d'investissement et de coopération économique dans cette région clé, » a conclu la porte-parole.
Ces mesures ont été prises par le Département du Trésor des États-Unis en vertu du décret présidentiel (E.O.) 13413, tel que modifié par l’E.O. 13671. Pour plus de détails sur les sanctions imposées, veuillez consulter le communiqué de presse du Trésor.