Depuis sa tentative avortée de reconversion dans le foot, qui le laisse amer, l'ex-dieu du sprint est un retraité de trente-deux ans reconverti dans le business. Il raconte comment sa vie s'est accélérée dans le magazine "l'équipe".
Naturellement classe, tout de noir vêtu, sans le moindre tatouage : « Gamin, mon père m'interdisait ce genre de truc, oreilles percées et tatouages, et ça ne me semblait plus vraiment excitant à vingt ans... En plus, franchement, les tatouages sur une peau noire, bof... » On a donc parlé un peu de tout, avec plus d'éclats de rire que d'éclats de voix. Sur un ton léger pour se réjouir candidement de redécouvrir l'athlé en tant que spectateur alors que se profilent, en septembre à Doha, les premiers Mondiaux de l'ère post-lui. Avec plus de gravité pour aborder les Mariners de Gosford, bons derniers de la Ligue australienne de foot, où on l'a fait passer pour quelque chose qu'il n'a pas aimé.
Naturellement classe, tout de noir vêtu, sans le moindre tatouage : « Gamin, mon père m'interdisait ce genre de truc, oreilles percées et tatouages, et ça ne me semblait plus vraiment excitant à vingt ans... En plus, franchement, les tatouages sur une peau noire, bof... » On a donc parlé un peu de tout, avec plus d'éclats de rire que d'éclats de voix. Sur un ton léger pour se réjouir candidement de redécouvrir l'athlé en tant que spectateur alors que se profilent, en septembre à Doha, les premiers Mondiaux de l'ère post-lui. Avec plus de gravité pour aborder les Mariners de Gosford, bons derniers de la Ligue australienne de foot, où on l'a fait passer pour quelque chose qu'il n'a pas aimé.