Les rebelles syriens ont nommé Mohammad al-Bachir comme Premier ministre d’un gouvernement de transition, a annoncé le mouvement jihadiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS). Ce dernier dirigera la transition jusqu’au 1er mars 2025. Ancien président du « gouvernement de salut syrien » établi à Idlib par HTS, al-Bachir a participé à des discussions avec le leader du HTS et l’ancien Premier ministre syrien Mohamed al-Jalali à Damas.
Le Qatar a également établi un premier contact avec HTS, soulignant l'importance de stabiliser la Syrie et d'empêcher l'émergence de groupes extrémistes comme l'État islamique. Cette initiative s'inscrit dans le contexte de réunions internationales visant à gérer la situation en Syrie après la chute de Bachar el-Assad.
Malgré son influence dominante sur la rébellion, HTS, ancienne branche d’al-Qaïda en Syrie, reste une organisation controversée pour la communauté internationale. Cependant, des signaux positifs émergent. L’envoyé spécial de l’ONU, Geir Pedersen, a évoqué une possible réévaluation du statut de HTS en cas de transition inclusive et d’unité entre les communautés syriennes. Il a également appelé à la fin des frappes israéliennes en Syrie pour éviter une escalade des tensions.
La Syrie se trouve à un moment charnière, entre opportunités de changement et risques de conflits internes, selon Pedersen. Le succès de la transition dépendra de la mise en œuvre des accords à Damas et de la capacité des parties syriennes à surmonter leurs divisions.
Le Qatar a également établi un premier contact avec HTS, soulignant l'importance de stabiliser la Syrie et d'empêcher l'émergence de groupes extrémistes comme l'État islamique. Cette initiative s'inscrit dans le contexte de réunions internationales visant à gérer la situation en Syrie après la chute de Bachar el-Assad.
Malgré son influence dominante sur la rébellion, HTS, ancienne branche d’al-Qaïda en Syrie, reste une organisation controversée pour la communauté internationale. Cependant, des signaux positifs émergent. L’envoyé spécial de l’ONU, Geir Pedersen, a évoqué une possible réévaluation du statut de HTS en cas de transition inclusive et d’unité entre les communautés syriennes. Il a également appelé à la fin des frappes israéliennes en Syrie pour éviter une escalade des tensions.
La Syrie se trouve à un moment charnière, entre opportunités de changement et risques de conflits internes, selon Pedersen. Le succès de la transition dépendra de la mise en œuvre des accords à Damas et de la capacité des parties syriennes à surmonter leurs divisions.