Les groupes responsables de la chute de Bachar el-Assad ont pour certains « leur propre sombre bilan en matière de terrorisme et de violations des droits de l'homme », rappelle Joe Biden, qui précise que Washington va évaluer leur degré actuel de modération. Les États-Unis ont « pris note » des récentes déclarations des rebelles en la matière, dit-il, avertissant face à ces déclarations de modération que non seulement leurs mots seront analysés, « mais aussi leurs actions ».
Le président américain assure que son administration échangera avec « tous les groupes syriens », « y compris dans le cadre du processus sous l'égide des Nations unies, pour mettre en place une transition (...) vers une Syrie indépendante, souveraine (...) avec une nouvelle Constitution, un nouveau gouvernement au service de tous les Syriens ».
Il devra « rendre des comptes » pour les « centaines de milliers de Syriens innocents » ayant été « maltraités, torturés, et tués », considère le président américain, qui quittera le pouvoir en janvier. « Nous ne sommes pas sûrs d'où il est, mais il se dit qu'il est à Moscou », ajoute M. Biden dans son allocution prononcée depuis la Maison Blanche, tandis que les agences d'État russes assurent que le président déchu se trouve désormais avec sa famille dans la capitale russe.
Le président des États-Unis salue, dans une allocution, la chute du pouvoir de Bachar el-Assad, qui représente selon M. Biden une « opportunité historique ». « Enfin, le régime el-Assad est tombé », déclare-t-il depuis la Maison Blanche, évoquant « un acte fondamental de justice » et une « opportunité historique » pour les Syriens en vue de « construire un meilleur avenir », tout en avertissant contre « les risques et l'incertitude » qui découlent de la situation.
Le président américain assure que son administration échangera avec « tous les groupes syriens », « y compris dans le cadre du processus sous l'égide des Nations unies, pour mettre en place une transition (...) vers une Syrie indépendante, souveraine (...) avec une nouvelle Constitution, un nouveau gouvernement au service de tous les Syriens ».
Il devra « rendre des comptes » pour les « centaines de milliers de Syriens innocents » ayant été « maltraités, torturés, et tués », considère le président américain, qui quittera le pouvoir en janvier. « Nous ne sommes pas sûrs d'où il est, mais il se dit qu'il est à Moscou », ajoute M. Biden dans son allocution prononcée depuis la Maison Blanche, tandis que les agences d'État russes assurent que le président déchu se trouve désormais avec sa famille dans la capitale russe.
Le président des États-Unis salue, dans une allocution, la chute du pouvoir de Bachar el-Assad, qui représente selon M. Biden une « opportunité historique ». « Enfin, le régime el-Assad est tombé », déclare-t-il depuis la Maison Blanche, évoquant « un acte fondamental de justice » et une « opportunité historique » pour les Syriens en vue de « construire un meilleur avenir », tout en avertissant contre « les risques et l'incertitude » qui découlent de la situation.