Ce mercredi, lors d’une rencontre avec le personnel de la Primature consacrée à la réorganisation et au fonctionnement des institutions, le Premier ministre Ousmane Sonko a fait des révélations importantes concernant l’avenir du Conseil économique, social et environnemental (CESE) et du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT).
« J'ai l'espoir que ceux qui dirigent ces institutions ne passeront pas cette nuit en tant que présidents », a-t-il déclaré, en faisant référence à Abdoulaye Daouda Diallo et Aminata Mbengue Ndiaye, respectivement présidents du CESE et du HCCT. Cette déclaration laisse présager une dissolution prochaine de ces deux organes.
Le Premier ministre a également évoqué des mesures drastiques pour garantir que ces institutions ne puissent plus fonctionner normalement. « Le Chef de l'Etat va probablement prendre des décrets pour remercier Abdoulaye Daouda Diallo et Aminata Mbengue Ndiaye. Il va aussi bloquer le fonctionnement de ces institutions pour qu’aucun centime de crédit ne puisse être dépensé », a-t-il ajouté.
Cette annonce intervient dans un contexte où l’étude sur la rationalisation des dépenses publiques touche à sa fin. L’actuel régime semble engagé dans une réforme ambitieuse visant à rationaliser les dépenses et optimiser le fonctionnement des institutions publiques. La dissolution du CESE et du HCCT, si elle est confirmée, s'inscrit dans cette dynamique de réduction des coûts et de réorganisation administrative.
L’avenir de ces institutions, ainsi que leur impact potentiel sur le paysage politique et administratif du pays, est désormais incertain. La décision finale du Chef de l’Etat devrait clarifier les orientations prises par le gouvernement pour les mois à venir.
« J'ai l'espoir que ceux qui dirigent ces institutions ne passeront pas cette nuit en tant que présidents », a-t-il déclaré, en faisant référence à Abdoulaye Daouda Diallo et Aminata Mbengue Ndiaye, respectivement présidents du CESE et du HCCT. Cette déclaration laisse présager une dissolution prochaine de ces deux organes.
Le Premier ministre a également évoqué des mesures drastiques pour garantir que ces institutions ne puissent plus fonctionner normalement. « Le Chef de l'Etat va probablement prendre des décrets pour remercier Abdoulaye Daouda Diallo et Aminata Mbengue Ndiaye. Il va aussi bloquer le fonctionnement de ces institutions pour qu’aucun centime de crédit ne puisse être dépensé », a-t-il ajouté.
Cette annonce intervient dans un contexte où l’étude sur la rationalisation des dépenses publiques touche à sa fin. L’actuel régime semble engagé dans une réforme ambitieuse visant à rationaliser les dépenses et optimiser le fonctionnement des institutions publiques. La dissolution du CESE et du HCCT, si elle est confirmée, s'inscrit dans cette dynamique de réduction des coûts et de réorganisation administrative.
L’avenir de ces institutions, ainsi que leur impact potentiel sur le paysage politique et administratif du pays, est désormais incertain. La décision finale du Chef de l’Etat devrait clarifier les orientations prises par le gouvernement pour les mois à venir.