Lourdement battu par le Paris Saint-Germain (5-0) en finale de Ligue des champions, Simone Inzaghi a quitté son poste d’entraîneur de l’Inter Milan. Ce départ marque la fin d’un cycle douloureux pour le club lombard, encore sous le choc d’une défaite historique à Munich.
Malgré une saison jusque-là brillante, l’ampleur du revers a laissé des traces indélébiles dans les esprits. Inzaghi, affecté et usé par quatre années intenses, a choisi de tourner la page, refusant de prolonger un cycle qu’il jugeait à bout de souffle. Il s’est envolé pour l’Arabie saoudite, où un contrat de 25 millions d’euros par an l’attend à Al-Hilal.
Le vestiaire milanais, en état de sidération, n’a pas digéré cette finale cauchemardesque. Des voix se sont élevées, notamment celle de Frattesi, pour contester certains choix tactiques. L’ambiance sur le vol retour était morose, tandis que seuls quelques mots d’encouragement furent échangés entre les dirigeants et les joueurs abattus.
L’Inter, désormais sous le contrôle du fonds américain Oaktree, amorce un nouveau virage : celui d’une reconstruction basée sur la jeunesse et la valorisation d’actifs. Le mercato a déjà commencé avec l’arrivée de Luis Henrique pour 25 millions d’euros.
Pour succéder à Inzaghi, plusieurs pistes sont évoquées, dont celles de Cesc Fabregas ou Christian Chivu. Le club milanais doit maintenant reconstruire un projet cohérent pour espérer combler l’écart abyssal constaté avec un PSG entré dans une nouvelle ère.
Malgré une saison jusque-là brillante, l’ampleur du revers a laissé des traces indélébiles dans les esprits. Inzaghi, affecté et usé par quatre années intenses, a choisi de tourner la page, refusant de prolonger un cycle qu’il jugeait à bout de souffle. Il s’est envolé pour l’Arabie saoudite, où un contrat de 25 millions d’euros par an l’attend à Al-Hilal.
Le vestiaire milanais, en état de sidération, n’a pas digéré cette finale cauchemardesque. Des voix se sont élevées, notamment celle de Frattesi, pour contester certains choix tactiques. L’ambiance sur le vol retour était morose, tandis que seuls quelques mots d’encouragement furent échangés entre les dirigeants et les joueurs abattus.
L’Inter, désormais sous le contrôle du fonds américain Oaktree, amorce un nouveau virage : celui d’une reconstruction basée sur la jeunesse et la valorisation d’actifs. Le mercato a déjà commencé avec l’arrivée de Luis Henrique pour 25 millions d’euros.
Pour succéder à Inzaghi, plusieurs pistes sont évoquées, dont celles de Cesc Fabregas ou Christian Chivu. Le club milanais doit maintenant reconstruire un projet cohérent pour espérer combler l’écart abyssal constaté avec un PSG entré dans une nouvelle ère.