Dans un communiqué conjoint, la SENTER et la SETER dénoncent une série d’actes de sabotage visant des installations ferroviaires durant la semaine du 9 juin 2025.
Selon le document daté du 16 juin, deux incidents ont été enregistrés, précisément les vendredi 13 et samedi 14 juin. Des équipements stratégiques liés à la gestion des circulations ont été pris pour cibles, provoquant des ralentissements du trafic et des retards sur l’ensemble de la ligne, dans les deux sens. « Les impacts ont été immédiats », précise le texte, évoquant des conséquences lourdes pour les usagers.
Les deux sociétés jugent la situation « inacceptable et fortement dommageable », soulignant non seulement les surcoûts financiers, mais aussi l’impact social : « Elle pénalise toute une population, active et mobile, cliente du TER. Elle pénalise des hommes et des femmes, acteurs de l’économie de ce pays. »
Face à ces actes, les auteurs du communiqué rappellent que le Train Express Régional (TER) constitue un « patrimoine national », qui « ne doit en aucun cas être une cible de vandalisme ou de sabotage », mais plutôt « un bien commun, à protéger et entretenir par tous les Sénégalais ».
Des enquêtes judiciaires sont actuellement en cours, notamment avec la Légion de Gendarmerie du Transport Ferroviaire (LGTF), pour identifier les auteurs. Toutefois, « le détail des événements ne peut pour l’instant être communiqué », indiquent les deux entités.
La SENTER et la SETER concluent en affirmant que « la sécurité reste la priorité », et qu’elles œuvrent « chaque jour à préserver le service au bénéfice de tous les voyageurs ».
Selon le document daté du 16 juin, deux incidents ont été enregistrés, précisément les vendredi 13 et samedi 14 juin. Des équipements stratégiques liés à la gestion des circulations ont été pris pour cibles, provoquant des ralentissements du trafic et des retards sur l’ensemble de la ligne, dans les deux sens. « Les impacts ont été immédiats », précise le texte, évoquant des conséquences lourdes pour les usagers.
Les deux sociétés jugent la situation « inacceptable et fortement dommageable », soulignant non seulement les surcoûts financiers, mais aussi l’impact social : « Elle pénalise toute une population, active et mobile, cliente du TER. Elle pénalise des hommes et des femmes, acteurs de l’économie de ce pays. »
Face à ces actes, les auteurs du communiqué rappellent que le Train Express Régional (TER) constitue un « patrimoine national », qui « ne doit en aucun cas être une cible de vandalisme ou de sabotage », mais plutôt « un bien commun, à protéger et entretenir par tous les Sénégalais ».
Des enquêtes judiciaires sont actuellement en cours, notamment avec la Légion de Gendarmerie du Transport Ferroviaire (LGTF), pour identifier les auteurs. Toutefois, « le détail des événements ne peut pour l’instant être communiqué », indiquent les deux entités.
La SENTER et la SETER concluent en affirmant que « la sécurité reste la priorité », et qu’elles œuvrent « chaque jour à préserver le service au bénéfice de tous les voyageurs ».