Le Mouvement des Jeunes de la République des Valeurs (MONJER) a tenu une conférence de presse ce mardi, au cours de laquelle ses membres se sont exprimés sur la situation politique et économique actuelle du Sénégal. Devant un parterre de journalistes, MONJER a abordé plusieurs sujets brûlants, notamment la reddition des comptes, la crise économique et la question de l'amnistie.
Dès l'entame de son discours, le porte-parole du mouvement a tenu à saluer le rôle de la presse : « Malgré des tentatives répétées de diabolisation de la presse motivées par des intérêts purement partisans, les journalistes demeurent une sentinelle qui protège notre jeune démocratie. » Il a également souligné l'importance de soutenir la presse face aux « insulteurs de PASTEF ».
Sur la question de la reddition des comptes, MONJER a réaffirmé son adhésion au principe de transparence dans la gestion des deniers publics. « Nous sommes entièrement d’accord pour que la lumière soit faite sur la manière dont les deniers publics ont été gérés. » Toutefois, le mouvement a mis en garde contre le risque de voir ce processus dévier vers un règlement de comptes politique. « Le risque du détournement de cette demande sociale est encore beaucoup plus grand avec le régime PASTEF », a-t-il déclaré, citant plusieurs exemples de personnalités supposément protégées par le pouvoir en place.
MONJER n'a pas mâché ses mots concernant la gestion économique du régime PASTEF. « Le rapport de la Cour des comptes récemment publié révèle que notre pays est dans une situation économique précaire, proche de la survie. » Le mouvement a dénoncé ce qu'il considère comme une incompétence notoire du gouvernement : « L’Agenda 2050 a été présenté sans prendre en compte la situation financière alarmante du pays. »
En outre, MONJER a critiqué l'explosion de la masse salariale et la multiplication des nominations politiques : « Le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko ont procédé, pendant près de 10 mois, à une vague de nominations incessantes, occupant des agences et des structures sans pertinence. »
La question de l'amnistie a également été abordée, MONJER accusant PASTEF de ne pas avoir respecté ses engagements en la matière. « À la République des Valeurs, nous espérions que l’abrogation de l’amnistie serait le premier acte que poserait la majorité parlementaire de PASTEF. » Le mouvement a dénoncé le paiement de sommes colossales à des victimes présumées, en dehors de toute procédure judiciaire : « Nous déposerons une plainte auprès des juridictions compétentes contre ces paiements effectués en toute opacité. »
Le porte-parole du mouvement a conclu en rappelant la détermination de MONJER à défendre les principes républicains : « La République des Valeurs continuera à défendre la vérité, la justice et les intérêts de notre Nation. Nous resterons vigilants face aux dérives du régime PASTEF. »
Dès l'entame de son discours, le porte-parole du mouvement a tenu à saluer le rôle de la presse : « Malgré des tentatives répétées de diabolisation de la presse motivées par des intérêts purement partisans, les journalistes demeurent une sentinelle qui protège notre jeune démocratie. » Il a également souligné l'importance de soutenir la presse face aux « insulteurs de PASTEF ».
Sur la question de la reddition des comptes, MONJER a réaffirmé son adhésion au principe de transparence dans la gestion des deniers publics. « Nous sommes entièrement d’accord pour que la lumière soit faite sur la manière dont les deniers publics ont été gérés. » Toutefois, le mouvement a mis en garde contre le risque de voir ce processus dévier vers un règlement de comptes politique. « Le risque du détournement de cette demande sociale est encore beaucoup plus grand avec le régime PASTEF », a-t-il déclaré, citant plusieurs exemples de personnalités supposément protégées par le pouvoir en place.
MONJER n'a pas mâché ses mots concernant la gestion économique du régime PASTEF. « Le rapport de la Cour des comptes récemment publié révèle que notre pays est dans une situation économique précaire, proche de la survie. » Le mouvement a dénoncé ce qu'il considère comme une incompétence notoire du gouvernement : « L’Agenda 2050 a été présenté sans prendre en compte la situation financière alarmante du pays. »
En outre, MONJER a critiqué l'explosion de la masse salariale et la multiplication des nominations politiques : « Le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko ont procédé, pendant près de 10 mois, à une vague de nominations incessantes, occupant des agences et des structures sans pertinence. »
La question de l'amnistie a également été abordée, MONJER accusant PASTEF de ne pas avoir respecté ses engagements en la matière. « À la République des Valeurs, nous espérions que l’abrogation de l’amnistie serait le premier acte que poserait la majorité parlementaire de PASTEF. » Le mouvement a dénoncé le paiement de sommes colossales à des victimes présumées, en dehors de toute procédure judiciaire : « Nous déposerons une plainte auprès des juridictions compétentes contre ces paiements effectués en toute opacité. »
Le porte-parole du mouvement a conclu en rappelant la détermination de MONJER à défendre les principes républicains : « La République des Valeurs continuera à défendre la vérité, la justice et les intérêts de notre Nation. Nous resterons vigilants face aux dérives du régime PASTEF. »