Latif Coulibaly, ancien ministre de la Culture reste profondément choqué par les accusations portées par les députés du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement contre certains juges du Conseil constitutionnel. Dans une interview accordée au "Jury du dimanche", il affirme ne pas être préoccupé par ces allégations, les qualifiant de totalement infondées.
« Je sais que ces accusations sont fausses. Elles ont été fabriquées de toutes pièces. C’est également le point de vue d’une des plus hautes personnalités du pays avec qui j’en ai discuté. Nous en avons parlé longuement, tant au téléphone que dans son bureau. Ce que je peux dire, c’est que c’est tout simplement surréaliste. Le Conseil constitutionnel prend ses décisions collectivement ; ce sont les sept juges qui se réunissent pour délibérer », précise-t-il.
Pour l'invité d'iRadio, avancer de telles choses revient à prendre les Sénégalais pour des idiots. « Ce n’est pas vrai ! Même le président du Conseil a signé. Dire que les cinq autres magistrats ont été influencés par deux juges est un mépris total pour ces magistrats. Affirmer que deux magistrats ont pu influencer le président du Conseil constitutionnel, la vice-présidente et les trois autres juges qui siégeaient avec eux est non seulement une calomnie mais aussi une infamie contre les institutions de notre pays », fulmine-t-il.
« Je sais que ces accusations sont fausses. Elles ont été fabriquées de toutes pièces. C’est également le point de vue d’une des plus hautes personnalités du pays avec qui j’en ai discuté. Nous en avons parlé longuement, tant au téléphone que dans son bureau. Ce que je peux dire, c’est que c’est tout simplement surréaliste. Le Conseil constitutionnel prend ses décisions collectivement ; ce sont les sept juges qui se réunissent pour délibérer », précise-t-il.
Pour l'invité d'iRadio, avancer de telles choses revient à prendre les Sénégalais pour des idiots. « Ce n’est pas vrai ! Même le président du Conseil a signé. Dire que les cinq autres magistrats ont été influencés par deux juges est un mépris total pour ces magistrats. Affirmer que deux magistrats ont pu influencer le président du Conseil constitutionnel, la vice-présidente et les trois autres juges qui siégeaient avec eux est non seulement une calomnie mais aussi une infamie contre les institutions de notre pays », fulmine-t-il.