Une déclaration glaçante secoue le Cameroun depuis quelques heures. Désiré Dieudonné Atangana, connu dans le milieu artistique sous le nom de Saintdesir Atango, a publié un message sur sa page Facebook dans lequel il affirme, sans ambages, avoir entretenu des rapports sexuels avec ses propres filles. Pire encore, il tente de justifier cet inceste en invoquant des croyances spirituelles personnelles et une idéologie animiste extrême.
Dans une publication que de nombreux internautes jugent délirante et profondément choquante, l’artiste écrit notamment : « Les rapports sexuels entretenus avec mes propres filles et moi ont été consentants, jusqu’à ce que leur mère intervienne, pour les enlever ». Il affirme même avoir eu un enfant avec l’une d’elles, âgée de 31 ans, ingénieure de profession.
Dans ce même message, l’homme va plus loin encore, en déclarant : « Je ne suis pas chrétien, je suis le Christ. Je suis animiste fondamentaliste, et ma spiritualité reconnaît l’importance du pur sang dans la société », avant de conclure : « Il est temps que l’Afrique recommence à reproduire ses purs sang ».
Ces propos, dont l’étrangeté le dispute à l’horreur, ont immédiatement provoqué une vague d’indignation sur les réseaux sociaux et dans l’opinion publique. De nombreux internautes, militants des droits humains, psychologues et figures publiques camerounaises appellent à une réaction urgente des autorités judiciaires et sanitaires.
Des juristes contactés estiment que les aveux diffusés publiquement peuvent justifier l’ouverture immédiate d’une enquête pour inceste, viol et séquestration. Si les faits sont avérés, l’artiste encourt des peines très lourdes au regard du Code pénal camerounais.
D’autre part, plusieurs voix s’élèvent pour demander une expertise psychiatrique urgente de l’individu, au vu de la teneur de ses déclarations. « Nous ne pouvons pas laisser un homme qui revendique l’inceste et tente de le théoriser, libre de ses mouvements », a déclaré un avocat au barreau de Yaoundé.
L’affaire soulève enfin une question fondamentale sur la responsabilité des plateformes sociales : la publication incriminée est toujours visible sur Facebook à l’heure où nous écrivons ces lignes, en dépit de son caractère manifestement contraire aux standards communautaires et potentiellement criminel.
L’enquête s’annonce complexe, mais l’urgence d’une réaction judiciaire et psychologique ne fait aucun doute. Dans l’attente, une large partie de la société camerounaise reste profondément bouleversée par ce qui s’apparente à une dérive aux confins de l’abject.
Dans une publication que de nombreux internautes jugent délirante et profondément choquante, l’artiste écrit notamment : « Les rapports sexuels entretenus avec mes propres filles et moi ont été consentants, jusqu’à ce que leur mère intervienne, pour les enlever ». Il affirme même avoir eu un enfant avec l’une d’elles, âgée de 31 ans, ingénieure de profession.
Dans ce même message, l’homme va plus loin encore, en déclarant : « Je ne suis pas chrétien, je suis le Christ. Je suis animiste fondamentaliste, et ma spiritualité reconnaît l’importance du pur sang dans la société », avant de conclure : « Il est temps que l’Afrique recommence à reproduire ses purs sang ».
Ces propos, dont l’étrangeté le dispute à l’horreur, ont immédiatement provoqué une vague d’indignation sur les réseaux sociaux et dans l’opinion publique. De nombreux internautes, militants des droits humains, psychologues et figures publiques camerounaises appellent à une réaction urgente des autorités judiciaires et sanitaires.
Des juristes contactés estiment que les aveux diffusés publiquement peuvent justifier l’ouverture immédiate d’une enquête pour inceste, viol et séquestration. Si les faits sont avérés, l’artiste encourt des peines très lourdes au regard du Code pénal camerounais.
D’autre part, plusieurs voix s’élèvent pour demander une expertise psychiatrique urgente de l’individu, au vu de la teneur de ses déclarations. « Nous ne pouvons pas laisser un homme qui revendique l’inceste et tente de le théoriser, libre de ses mouvements », a déclaré un avocat au barreau de Yaoundé.
L’affaire soulève enfin une question fondamentale sur la responsabilité des plateformes sociales : la publication incriminée est toujours visible sur Facebook à l’heure où nous écrivons ces lignes, en dépit de son caractère manifestement contraire aux standards communautaires et potentiellement criminel.
L’enquête s’annonce complexe, mais l’urgence d’une réaction judiciaire et psychologique ne fait aucun doute. Dans l’attente, une large partie de la société camerounaise reste profondément bouleversée par ce qui s’apparente à une dérive aux confins de l’abject.