Moins de sept mois après sa nomination à la tête du Conseil d'administration du quotidien national Le Soleil, Mody Niang a annoncé sa démission. Dans une lettre adressée au Premier ministre Ousmane Sonko et au Président de la République Bassirou Diomaye Faye, il explique que des raisons essentiellement de santé l'empêchent de mener à bien sa mission avec l'efficacité requise.
Nommé le 7 août 2024, Mody Niang a officiellement pris ses fonctions le 6 septembre de la même année. Cependant, il a rapidement réalisé que son état de santé ne lui permettrait pas d'assumer pleinement ses responsabilités. "C'est vrai que ce serait plus confortable pour moi de rester et de continuer à percevoir, tous les mois, des indemnités substantielles. Ce serait alors lourd, très lourd à supporter pour ma conscience", a-t-il expliqué dans sa lettre de démission.
Cette décision rappelle un choix similaire qu'il avait fait en 2016, lorsqu'il avait quitté la présidence de l'Office national de lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC). Mody Niang affirme avoir consulté le Premier ministre et le chef de l'État avant de prendre sa décision, et il se félicite de leur compréhension.
Anticipant les interprétations politiques de son départ, Mody Niang insiste sur le fait que sa démission ne remet pas en cause son engagement envers le projet porté par Ousmane Sonko et le Pastef. "Mon engagement remonte à 2014 et s'est intensifié après mon limogeage de l'OFNAC en 2016. Il demeure intact", a-t-il précisé.
Nommé le 7 août 2024, Mody Niang a officiellement pris ses fonctions le 6 septembre de la même année. Cependant, il a rapidement réalisé que son état de santé ne lui permettrait pas d'assumer pleinement ses responsabilités. "C'est vrai que ce serait plus confortable pour moi de rester et de continuer à percevoir, tous les mois, des indemnités substantielles. Ce serait alors lourd, très lourd à supporter pour ma conscience", a-t-il expliqué dans sa lettre de démission.
Cette décision rappelle un choix similaire qu'il avait fait en 2016, lorsqu'il avait quitté la présidence de l'Office national de lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC). Mody Niang affirme avoir consulté le Premier ministre et le chef de l'État avant de prendre sa décision, et il se félicite de leur compréhension.
Anticipant les interprétations politiques de son départ, Mody Niang insiste sur le fait que sa démission ne remet pas en cause son engagement envers le projet porté par Ousmane Sonko et le Pastef. "Mon engagement remonte à 2014 et s'est intensifié après mon limogeage de l'OFNAC en 2016. Il demeure intact", a-t-il précisé.