Une mutinerie a éclaté ce mercredi matin au Camp pénal de Liberté 6, provoquant une intervention rapide des gardes pénitentiaires qui ont eu recours aux gaz lacrymogènes pour rétablir l'ordre. Selon les premiers témoignages recueillis, l'incident a été déclenché par une fouille qui a mal tourné, entraînant une situation critique que l'Administration pénitentiaire déplore vivement.
Dans un communiqué officiel envoyé à exclusif.net, l'Administration pénitentiaire a fourni des détails sur les événements. "Ce mercredi 19 juin 2024 vers 09 heures, des informations faisant état d’une mutinerie au Camp pénal de Liberté 6 ont été relayées dans les médias. Des vidéos et des images prises par les détenus ont circulé sur les réseaux sociaux, heurtant ainsi la sensibilité de beaucoup de personnes et particulièrement les parents des détenus", a-t-elle dénoncé.
Le communiqué révèle que les troubles ont commencé lorsque les détenus de la chambre 8 ont refusé de se soumettre à l’appel nominatif, une mesure de sécurité obligatoire. En représailles, ils ont délibérément incendié leurs effets de couchage. "Les images et vidéos provenant de l’intérieur de cet établissement pénitentiaire, frauduleusement filmées par les détenus, résultent d’un incident survenu après que les pensionnaires de la chambre 8 du Camp pénal de Liberté 6 ont refusé de se soumettre à l’appel nominatif, qui reste une mesure de sécurité obligatoire. Ils ont par la suite délibérément mis le feu sur leurs effets de couchage", précise l'Administration pénitentiaire.
Heureusement, l'intervention rapide du personnel en service a permis de maîtriser la situation sans qu'aucun blessé ne soit à déplorer, et sans perte de vie humaine. L'Administration pénitentiaire a annoncé l'ouverture d'une enquête pour identifier l'origine des téléphones ayant servi à filmer et à diffuser ces scènes de violence.
En conclusion, l'Administration pénitentiaire a lancé un appel au respect des règles de sécurité qui régissent les établissements pénitentiaires, exhortant à la fois les détenus et l'opinion publique à collaborer pour maintenir l'ordre et la sécurité.
Pour plus d'informations et pour suivre le déroulement de l'enquête, restez connectés sur exclusif.net.
Dans un communiqué officiel envoyé à exclusif.net, l'Administration pénitentiaire a fourni des détails sur les événements. "Ce mercredi 19 juin 2024 vers 09 heures, des informations faisant état d’une mutinerie au Camp pénal de Liberté 6 ont été relayées dans les médias. Des vidéos et des images prises par les détenus ont circulé sur les réseaux sociaux, heurtant ainsi la sensibilité de beaucoup de personnes et particulièrement les parents des détenus", a-t-elle dénoncé.
Le communiqué révèle que les troubles ont commencé lorsque les détenus de la chambre 8 ont refusé de se soumettre à l’appel nominatif, une mesure de sécurité obligatoire. En représailles, ils ont délibérément incendié leurs effets de couchage. "Les images et vidéos provenant de l’intérieur de cet établissement pénitentiaire, frauduleusement filmées par les détenus, résultent d’un incident survenu après que les pensionnaires de la chambre 8 du Camp pénal de Liberté 6 ont refusé de se soumettre à l’appel nominatif, qui reste une mesure de sécurité obligatoire. Ils ont par la suite délibérément mis le feu sur leurs effets de couchage", précise l'Administration pénitentiaire.
Heureusement, l'intervention rapide du personnel en service a permis de maîtriser la situation sans qu'aucun blessé ne soit à déplorer, et sans perte de vie humaine. L'Administration pénitentiaire a annoncé l'ouverture d'une enquête pour identifier l'origine des téléphones ayant servi à filmer et à diffuser ces scènes de violence.
En conclusion, l'Administration pénitentiaire a lancé un appel au respect des règles de sécurité qui régissent les établissements pénitentiaires, exhortant à la fois les détenus et l'opinion publique à collaborer pour maintenir l'ordre et la sécurité.
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