
La radiation de Barthélémy Dias de l'Assemblée nationale, décidée par le pouvoir actuel, est vivement critiquée par l’Alliance pour la Transparence des Élections (ATEL), désormais renommée Alliance pour la Transparence, l’Équité et les Libertés (ATEL). L’organisation dénonce une mesure qu’elle qualifie de « politiquement illégitime et moralement intolérable », malgré une apparente légalité formelle.
Dans un communiqué, l’ATEL rappelle que le gouvernement, qui avait validé la légalité de la candidature de Barthélémy Dias, procède aujourd’hui à sa radiation sans qu’aucun nouvel élément ne justifie ce revirement. Selon l’Alliance, cette action vise à masquer l’irrégularité d’une autre candidature, celle de Ousmane Sonko, pourtant jugée problématique. L’ATEL fustige également ce qu’elle appelle « des manœuvres de bas étage », ayant marqué tout le processus électoral, notamment :
Les arrestations arbitraires d’opposants et de journalistes.
« Incapable de tenir ses promesses démagogiques, le pouvoir Pastef gouverne dans la répression et la violation systématique des libertés individuelles et collectives », affirme l’ATEL.
Une nouvelle mission pour l’ATEL
En réponse à ces pratiques, l’ATEL annonce une refonte de ses objectifs. Désormais Alliance pour la Transparence, l’Équité et les Libertés, elle s’engage à organiser des mobilisations massives pour résister à la répression et défendre les droits fondamentaux, en particulier la liberté d’expression.
« Notre mission est claire : unir les forces démocratiques pour protéger les acquis de l’État de droit et faire face aux dérives autoritaires », précise l’organisation. Avec cette réorganisation, l’ATEL espère intensifier la lutte pour la transparence, la justice et le respect des libertés dans un contexte politique qu’elle juge préoccupant.
Dans un communiqué, l’ATEL rappelle que le gouvernement, qui avait validé la légalité de la candidature de Barthélémy Dias, procède aujourd’hui à sa radiation sans qu’aucun nouvel élément ne justifie ce revirement. Selon l’Alliance, cette action vise à masquer l’irrégularité d’une autre candidature, celle de Ousmane Sonko, pourtant jugée problématique. L’ATEL fustige également ce qu’elle appelle « des manœuvres de bas étage », ayant marqué tout le processus électoral, notamment :
Les arrestations arbitraires d’opposants et de journalistes.
« Incapable de tenir ses promesses démagogiques, le pouvoir Pastef gouverne dans la répression et la violation systématique des libertés individuelles et collectives », affirme l’ATEL.
Une nouvelle mission pour l’ATEL
En réponse à ces pratiques, l’ATEL annonce une refonte de ses objectifs. Désormais Alliance pour la Transparence, l’Équité et les Libertés, elle s’engage à organiser des mobilisations massives pour résister à la répression et défendre les droits fondamentaux, en particulier la liberté d’expression.
« Notre mission est claire : unir les forces démocratiques pour protéger les acquis de l’État de droit et faire face aux dérives autoritaires », précise l’organisation. Avec cette réorganisation, l’ATEL espère intensifier la lutte pour la transparence, la justice et le respect des libertés dans un contexte politique qu’elle juge préoccupant.