Le 9 septembre dernier, les Léopards de la République démocratique du Congo ont été humiliés face au Sénégal (2-3) lors des qualifications pour la Coupe du monde 2026. Malgré ce revers, la Fédération congolaise de football association (FECOFA) a tenu à remercier ses supporters pour leur soutien constant.
« Merci au public et au peuple congolais pour cet incroyable soutien durant cette trêve internationale. Votre ferveur a porté nos Léopards à chaque instant, à Juba comme à Kinshasa. Ensemble, continuons à travailler. Bomoko ! » Ces mots reflètent l’importance capitale du soutien des fans pour l’équipe nationale.
La fédération a également annoncé les prochaines échéances prévues en octobre, appelant les supporters à conserver la même détermination et à continuer de porter haut les couleurs congolaises.
Cependant, ce communiqué intrigue par ce qu’il ne dit pas. Aucune mention n’est faite des incidents survenus lors de la rencontre. Des débordements ont été signalés, incluant des agressions envers des supporters sénégalais et des dégradations dans le stade, mais la FECOFA n’a pas abordé ces faits. Cette absence de réaction soulève des interrogations sur la manière dont les violences dans le football congolais sont gérées. Ce silence pourrait coûter cher à la RDC, qui se trouve dans le collimateur de la CAF et de la FIFA, d’autant que ce jour-là, des vies ont été mises en danger.
« Merci au public et au peuple congolais pour cet incroyable soutien durant cette trêve internationale. Votre ferveur a porté nos Léopards à chaque instant, à Juba comme à Kinshasa. Ensemble, continuons à travailler. Bomoko ! » Ces mots reflètent l’importance capitale du soutien des fans pour l’équipe nationale.
La fédération a également annoncé les prochaines échéances prévues en octobre, appelant les supporters à conserver la même détermination et à continuer de porter haut les couleurs congolaises.
Cependant, ce communiqué intrigue par ce qu’il ne dit pas. Aucune mention n’est faite des incidents survenus lors de la rencontre. Des débordements ont été signalés, incluant des agressions envers des supporters sénégalais et des dégradations dans le stade, mais la FECOFA n’a pas abordé ces faits. Cette absence de réaction soulève des interrogations sur la manière dont les violences dans le football congolais sont gérées. Ce silence pourrait coûter cher à la RDC, qui se trouve dans le collimateur de la CAF et de la FIFA, d’autant que ce jour-là, des vies ont été mises en danger.




