Le géant britannique du gaz et du pétrole, BP, a pris la décision de se retirer du Sénégal, selon des informations révélées par Confidentiel Afrique. Cette décision intervient dans un contexte marqué par la publication de sondages réalisés par deux compagnies pétrolières sur le climat politique sénégalais avant la présidentielle de 2024. Ces sondages, effectués par des cabinets basés à Londres et Sydney, indiquent une popularité croissante de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko.
Les informations fournies par Confidentiel Afrique suggèrent que le retrait de BP des eaux sénégalaises pourrait être lié aux résultats de ces sondages. Les enquêtes, réalisées entre mars et avril 2023, ont ciblé divers groupes démographiques, y compris des universitaires, des étudiants, des ouvriers et des entrepreneurs de la diaspora sénégalaise. Elles ont mis en évidence une avance significative d’Ousmane Sonko face à d’autres candidats potentiels, dont Macky Sall, Idrissa Seck, Dèthié Fall, Bougane Gueye, Thierno Alassane Sall, Khalifa Sall et Karim Wade.
Les résultats montrent que Sonko pourrait remporter l’élection dès le premier tour avec 52,34% des voix, ou bénéficier d’un report massif de voix en cas de second tour. Ces sondages, commandés par des multinationales pétrolières, semblent jouer un rôle dans la formulation de leurs stratégies d’investissement en Afrique de l’Ouest, et notamment au Sénégal, qui se prépare à exploiter ses ressources gazières et pétrolières.
L’approche de la présidentielle sénégalaise de 2024 est étroitement surveillée par les acteurs internationaux du secteur énergétique. Les firmes pétrolières cherchent à comprendre l’orientation politique future du Sénégal, un pays sur le point de devenir un acteur majeur dans le secteur de l’énergie en Afrique de l’Ouest. Leur intérêt pour les sondages et les dynamiques politiques suggère une approche stratégique en vue d’optimiser leurs investissements et de naviguer dans un environnement politique en évolution.
Les informations fournies par Confidentiel Afrique suggèrent que le retrait de BP des eaux sénégalaises pourrait être lié aux résultats de ces sondages. Les enquêtes, réalisées entre mars et avril 2023, ont ciblé divers groupes démographiques, y compris des universitaires, des étudiants, des ouvriers et des entrepreneurs de la diaspora sénégalaise. Elles ont mis en évidence une avance significative d’Ousmane Sonko face à d’autres candidats potentiels, dont Macky Sall, Idrissa Seck, Dèthié Fall, Bougane Gueye, Thierno Alassane Sall, Khalifa Sall et Karim Wade.
Les résultats montrent que Sonko pourrait remporter l’élection dès le premier tour avec 52,34% des voix, ou bénéficier d’un report massif de voix en cas de second tour. Ces sondages, commandés par des multinationales pétrolières, semblent jouer un rôle dans la formulation de leurs stratégies d’investissement en Afrique de l’Ouest, et notamment au Sénégal, qui se prépare à exploiter ses ressources gazières et pétrolières.
L’approche de la présidentielle sénégalaise de 2024 est étroitement surveillée par les acteurs internationaux du secteur énergétique. Les firmes pétrolières cherchent à comprendre l’orientation politique future du Sénégal, un pays sur le point de devenir un acteur majeur dans le secteur de l’énergie en Afrique de l’Ouest. Leur intérêt pour les sondages et les dynamiques politiques suggère une approche stratégique en vue d’optimiser leurs investissements et de naviguer dans un environnement politique en évolution.