Lors d’un rassemblement pacifique en soutien à la Palestine, le Premier ministre Ousmane Sonko a appelé à une union de toutes les forces, sans distinction, pour œuvrer à la libération du peuple palestinien et travailler ensemble pour un « isolement politique » de l’État d’Israël.
Conscient des véritables raisons du conflit, Ousmane Sonko a exhorté les organisateurs de la manifestation à ne pas tomber dans le piège tendu par les autorités israéliennes : « Ce conflit n'est pas religieux, il est plutôt politique et humain. Le Président Senghor, qui n'était pas musulman, a pris de nombreuses initiatives que nous saluons. Les actions les plus visibles en faveur de la Palestine ont été menées par l'Afrique du Sud, où seulement 2 % de la population est musulmane, et par des pays d'Amérique latine, alors que beaucoup de pays musulmans sont restés silencieux. »
Il a ajouté : « Des personnes de confession juive ont manifesté en Israël pour dénoncer ces massacres. Il est donc essentiel de rassembler tous ceux qui condamnent cette injustice. C’est pourquoi la dimension politique de notre combat est extrêmement importante. Politiquement, nous devons transcender certaines questions et surmonter nos petites différences si nous voulons exister. Le Pape François a dénoncé et condamné ces actes, réclamant deux États viables. D’autres croyances religieuses ont également pris position. »
Le Premier ministre a conclu en demandant l’implication de tous pour la libération du peuple palestinien et pour un « isolement politique » de l’État d’Israël : « Il est crucial d'adopter une approche très politique au-delà du volet religieux. Si la CPI a pu condamner le Premier ministre israélien, c’est parce que l’Afrique du Sud a agi de manière exemplaire, comme nous, en tant que musulmans, devrions le faire. Il est temps de nous unir pour arrêter cette barbarie humaine. »
Conscient des véritables raisons du conflit, Ousmane Sonko a exhorté les organisateurs de la manifestation à ne pas tomber dans le piège tendu par les autorités israéliennes : « Ce conflit n'est pas religieux, il est plutôt politique et humain. Le Président Senghor, qui n'était pas musulman, a pris de nombreuses initiatives que nous saluons. Les actions les plus visibles en faveur de la Palestine ont été menées par l'Afrique du Sud, où seulement 2 % de la population est musulmane, et par des pays d'Amérique latine, alors que beaucoup de pays musulmans sont restés silencieux. »
Il a ajouté : « Des personnes de confession juive ont manifesté en Israël pour dénoncer ces massacres. Il est donc essentiel de rassembler tous ceux qui condamnent cette injustice. C’est pourquoi la dimension politique de notre combat est extrêmement importante. Politiquement, nous devons transcender certaines questions et surmonter nos petites différences si nous voulons exister. Le Pape François a dénoncé et condamné ces actes, réclamant deux États viables. D’autres croyances religieuses ont également pris position. »
Le Premier ministre a conclu en demandant l’implication de tous pour la libération du peuple palestinien et pour un « isolement politique » de l’État d’Israël : « Il est crucial d'adopter une approche très politique au-delà du volet religieux. Si la CPI a pu condamner le Premier ministre israélien, c’est parce que l’Afrique du Sud a agi de manière exemplaire, comme nous, en tant que musulmans, devrions le faire. Il est temps de nous unir pour arrêter cette barbarie humaine. »