Moins de deux semaines après le début de leur offensive éclair en Syrie, les rebelles menés par le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham ont pénétré cette nuit dans Damas. Selon leurs déclarations, confirmées par l'Observatoire syrien des droits de l'homme, le président Bachar el-Assad aurait quitté la Syrie. Le Premier ministre, Mohamed al-Jalali, a affirmé être disposé à toute « passation » de pouvoir et prêt à collaborer avec le « leadership » que choisira le peuple.
Dans la nuit de samedi à dimanche, l'Observatoire syrien des droits de l'homme, une ONG basée à Londres, a relayé des informations indiquant que Bachar el-Assad se serait réfugié à l'étranger. Pendant ce temps, Mohamed al-Jalali, resté sur place, a assuré qu'il accompagnerait toute transition politique et respecterait la volonté populaire.
Quelques heures auparavant, des responsables turcs, iraniens et russes s’étaient rencontrés à Doha, au Qatar, pour discuter de la situation en Syrie dans le cadre du processus d’Astana, lancé en 2017 pour mettre fin à la guerre civile. À l’issue de cette réunion, Ankara a exprimé son souhait de voir la paix revenir en Syrie, tandis que l’ONU a lancé un appel pressant pour éviter un « bain de sang » dans le pays.
Dans la nuit de samedi à dimanche, l'Observatoire syrien des droits de l'homme, une ONG basée à Londres, a relayé des informations indiquant que Bachar el-Assad se serait réfugié à l'étranger. Pendant ce temps, Mohamed al-Jalali, resté sur place, a assuré qu'il accompagnerait toute transition politique et respecterait la volonté populaire.
Quelques heures auparavant, des responsables turcs, iraniens et russes s’étaient rencontrés à Doha, au Qatar, pour discuter de la situation en Syrie dans le cadre du processus d’Astana, lancé en 2017 pour mettre fin à la guerre civile. À l’issue de cette réunion, Ankara a exprimé son souhait de voir la paix revenir en Syrie, tandis que l’ONU a lancé un appel pressant pour éviter un « bain de sang » dans le pays.