Les corps continuent d’être retrouvés sur les plages de Mbour, 48 heures après le naufrage d'une pirogue survenu dimanche. Jusqu’à présent, 37 corps ont été repêchés. Parmi les victimes identifiées et inhumées mardi au cimetière Liberté de Mbour figurent Matar Samb, agent de sécurité, Daba Diop, mère d’un enfant de 3 ans, et Fatou Samb, une collégienne, selon "Libération".
Le journal, qui suit de près les derniers développements de l'enquête menée par la Division nationale de lutte contre le trafic de personnes et pratiques assimilées (DNLT), apporte des détails sur l’arrestation du convoyeur. D’après les informations, C. Sall, alias « Saf », s'est « constitué prisonnier » auprès de la Brigade de recherches de Saly après avoir appris qu’il était recherché.
Âgé de 52 ans, le mis en cause, déjà impliqué dans plusieurs affaires de trafic de migrants, est le demi-frère du maire de Mbour, Issa Sall, rapporte le quotidien. Interrogé par les enquêteurs, il a avoué avoir reçu 10,7 millions de francs CFA de la part des candidats au voyage.
"Libération" rappelle également que Sall avait admis la surcharge de la pirogue, expliquant que « des individus, informés du départ, sont montés de force dans l'embarcation sans payer leur place ».
Le journal, qui suit de près les derniers développements de l'enquête menée par la Division nationale de lutte contre le trafic de personnes et pratiques assimilées (DNLT), apporte des détails sur l’arrestation du convoyeur. D’après les informations, C. Sall, alias « Saf », s'est « constitué prisonnier » auprès de la Brigade de recherches de Saly après avoir appris qu’il était recherché.
Âgé de 52 ans, le mis en cause, déjà impliqué dans plusieurs affaires de trafic de migrants, est le demi-frère du maire de Mbour, Issa Sall, rapporte le quotidien. Interrogé par les enquêteurs, il a avoué avoir reçu 10,7 millions de francs CFA de la part des candidats au voyage.
"Libération" rappelle également que Sall avait admis la surcharge de la pirogue, expliquant que « des individus, informés du départ, sont montés de force dans l'embarcation sans payer leur place ».