L’affaire secoue Yeumbeul-Nord et suscite de nombreuses interrogations. Pape Coulibaly, alias “Diaz”, 44 ans, a été enlevé par des individus non identifiés à bord d’un véhicule banalisé avant d’être battu à mort. Selon les révélations du quotidien L’Observateur, la victime a livré le nom de l’un de ses agresseurs avant de succomber.
Une arrestation musclée qui vire au drame
Tout commence dans la soirée du mardi 4 février 2025, un peu après 20 heures. Pape Coulibaly se promenait avec sa petite amie dans une rue mal éclairée de Yeumbeul-Nord lorsqu’un véhicule banalisé s’arrête brusquement à leur hauteur. Des hommes en sortent et lui demandent ses papiers d’identité. Ne les ayant pas sur lui, il est fouillé de force.
D’après le témoignage de sa compagne, recueilli par L’Observateur, Diaz, méfiant, refuse d’être fouillé par l’un des hommes et désigne un autre en qui il a plus confiance. Ce geste est perçu comme une provocation, déclenchant une confrontation. Il est alors violemment maîtrisé et embarqué de force sous les yeux impuissants de sa petite amie, sommée de ne pas intervenir.
Une disparition inquiétante et une réapparition tragique
Inquiète, la jeune femme contacte immédiatement son frère, et ensemble, ils se rendent au commissariat de Yeumbeul-Comico. Mais aucune trace de Pape Coulibaly ni de ses ravisseurs. Désemparée, elle rentre chez elle, espérant que son compagnon reviendrait sain et sauf.
Quelques heures plus tard, Diaz refait surface à son domicile, mais dans un état critique. Il transpire abondamment, se plaint de douleurs et confie à sa compagne qu’il a été roué de coups. « Ils m’ont battu et je compte porter plainte », lui aurait-il dit, selon L’Observateur.
Mais son état s’aggrave rapidement. Il ressent des douleurs violentes à l’estomac, ses yeux se révulsent. Sa petite amie se précipite alors pour chercher ses médicaments. Lorsqu’elle revient, il est déjà mort. Il était 22 heures.
Un dernier souffle… et une révélation explosive
Avant de succomber, Diaz aurait confié le nom de l’un de ses agresseurs, selon les déclarations de sa famille à L’Observateur. Son père affirme que les bourreaux de son fils étaient loin d’être des inconnus : « Ils passent souvent par ici, nous les connaissons bien. »
L’enquête de la police de Yeumbeul-Nord est en cours, mais les autorités appellent à éviter les conclusions hâtives. Qui sont ces hommes qui l’ont enlevé ? Quelle était la nature du conflit entre eux et Diaz ? L’affaire promet encore bien des rebondissements.
Une arrestation musclée qui vire au drame
Tout commence dans la soirée du mardi 4 février 2025, un peu après 20 heures. Pape Coulibaly se promenait avec sa petite amie dans une rue mal éclairée de Yeumbeul-Nord lorsqu’un véhicule banalisé s’arrête brusquement à leur hauteur. Des hommes en sortent et lui demandent ses papiers d’identité. Ne les ayant pas sur lui, il est fouillé de force.
D’après le témoignage de sa compagne, recueilli par L’Observateur, Diaz, méfiant, refuse d’être fouillé par l’un des hommes et désigne un autre en qui il a plus confiance. Ce geste est perçu comme une provocation, déclenchant une confrontation. Il est alors violemment maîtrisé et embarqué de force sous les yeux impuissants de sa petite amie, sommée de ne pas intervenir.
Une disparition inquiétante et une réapparition tragique
Inquiète, la jeune femme contacte immédiatement son frère, et ensemble, ils se rendent au commissariat de Yeumbeul-Comico. Mais aucune trace de Pape Coulibaly ni de ses ravisseurs. Désemparée, elle rentre chez elle, espérant que son compagnon reviendrait sain et sauf.
Quelques heures plus tard, Diaz refait surface à son domicile, mais dans un état critique. Il transpire abondamment, se plaint de douleurs et confie à sa compagne qu’il a été roué de coups. « Ils m’ont battu et je compte porter plainte », lui aurait-il dit, selon L’Observateur.
Mais son état s’aggrave rapidement. Il ressent des douleurs violentes à l’estomac, ses yeux se révulsent. Sa petite amie se précipite alors pour chercher ses médicaments. Lorsqu’elle revient, il est déjà mort. Il était 22 heures.
Un dernier souffle… et une révélation explosive
Avant de succomber, Diaz aurait confié le nom de l’un de ses agresseurs, selon les déclarations de sa famille à L’Observateur. Son père affirme que les bourreaux de son fils étaient loin d’être des inconnus : « Ils passent souvent par ici, nous les connaissons bien. »
L’enquête de la police de Yeumbeul-Nord est en cours, mais les autorités appellent à éviter les conclusions hâtives. Qui sont ces hommes qui l’ont enlevé ? Quelle était la nature du conflit entre eux et Diaz ? L’affaire promet encore bien des rebondissements.