Le 7 octobre 2024, le gouvernement sénégalais a officiellement annoncé les mesures visant à faciliter le rapatriement de ses ressortissants en difficulté au Liban, dont 700 ont exprimé leur souhait de rentrer volontairement. L’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA), qui suit de près l’évolution de cette situation, collabore activement avec les autorités sénégalaises, les ambassades et les associations locales afin de garantir que les droits fondamentaux de ces citoyens soient respectés à chaque étape de leur retour.
Les conditions de vie des ressortissants sénégalais au Liban se sont dramatiquement détériorées en raison de la guerre, exposant nos compatriotes à de graves risques pour leur sécurité et limitant leur accès aux services essentiels. « Les témoignages recueillis, notamment ceux relayés par la presse internationale, confirment que leur situation est devenue insoutenable », alerte Adama Mbengue, président de l’ADHA.
À leur arrivée au Sénégal, l’ADHA insiste sur la nécessité d’un accompagnement complet pour ces rapatriés, en particulier pour ceux ayant subi des traumatismes à la suite des événements vécus. L’organisation appelle à la mise en place d’un programme national de réintégration socio-économique, qui inclurait des soins médicaux, un suivi psychologique et un soutien financier pour faciliter leur réinsertion dans la société sénégalaise.
En outre, l’ADHA appelle la communauté internationale à intensifier ses efforts pour mettre un terme à la crise au Moyen-Orient, qui continue de faire des victimes civiles et de détériorer les conditions de vie de nombreux innocents, y compris les ressortissants sénégalais.
L’ADHA s’engage à assurer un suivi durable des rapatriés, pour garantir leur réinsertion dans des conditions optimales et veiller à la protection de leurs droits et de leur dignité. « L’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) reste vigilante quant à la mise en œuvre de ce rapatriement et à la prise en charge de nos compatriotes à leur retour, afin de protéger leurs droits et leur dignité », conclut Adama Mbengue, président de l’ADHA.
Les conditions de vie des ressortissants sénégalais au Liban se sont dramatiquement détériorées en raison de la guerre, exposant nos compatriotes à de graves risques pour leur sécurité et limitant leur accès aux services essentiels. « Les témoignages recueillis, notamment ceux relayés par la presse internationale, confirment que leur situation est devenue insoutenable », alerte Adama Mbengue, président de l’ADHA.
À leur arrivée au Sénégal, l’ADHA insiste sur la nécessité d’un accompagnement complet pour ces rapatriés, en particulier pour ceux ayant subi des traumatismes à la suite des événements vécus. L’organisation appelle à la mise en place d’un programme national de réintégration socio-économique, qui inclurait des soins médicaux, un suivi psychologique et un soutien financier pour faciliter leur réinsertion dans la société sénégalaise.
En outre, l’ADHA appelle la communauté internationale à intensifier ses efforts pour mettre un terme à la crise au Moyen-Orient, qui continue de faire des victimes civiles et de détériorer les conditions de vie de nombreux innocents, y compris les ressortissants sénégalais.
L’ADHA s’engage à assurer un suivi durable des rapatriés, pour garantir leur réinsertion dans des conditions optimales et veiller à la protection de leurs droits et de leur dignité. « L’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) reste vigilante quant à la mise en œuvre de ce rapatriement et à la prise en charge de nos compatriotes à leur retour, afin de protéger leurs droits et leur dignité », conclut Adama Mbengue, président de l’ADHA.