La vague de démissions continue au sein de l’Alliance pour la République (APR) après la publication des listes provisoires pour les législatives anticipées du 17 novembre. Après Awa Guéye, c'est désormais l'ancien Garde des Sceaux et ministre de la Justice, Me Malick Sall, qui a décidé de quitter le parti.
"Oui, je vous confirme avoir démissionné de l'Alliance pour la République avec toute mon équipe", a déclaré Me Sall, selon des propos rapportés par PressAfrik.
Cette démission serait motivée par des "raisons personnelles", a précisé l’ancien responsable politique de l'APR.
Pour rappel, lors des violentes manifestations de février 2021, alors qu'il était ministre de la Justice, Me Sall avait accusé les lutteurs d’être à l’origine de ces événements. Interrogé par France 24 à l’époque, il avait affirmé : « Ce sont des lutteurs privés de leur passion qui ont manifesté dans les rues de Dakar ».
Selon lui, « beaucoup d'entre eux étaient dans les écuries de lutte. Qu’est-ce que cela signifie ? Toute la semaine, ils s’entraînent, que ce soit en salle ou au bord de la mer. Le week-end, ils combattent dans les stades, ce qui leur permettait non seulement de se défouler, mais aussi de gagner leur vie. Or, ils en ont été privés depuis un an », avait-il expliqué sur la chaîne française.
"Oui, je vous confirme avoir démissionné de l'Alliance pour la République avec toute mon équipe", a déclaré Me Sall, selon des propos rapportés par PressAfrik.
Cette démission serait motivée par des "raisons personnelles", a précisé l’ancien responsable politique de l'APR.
Pour rappel, lors des violentes manifestations de février 2021, alors qu'il était ministre de la Justice, Me Sall avait accusé les lutteurs d’être à l’origine de ces événements. Interrogé par France 24 à l’époque, il avait affirmé : « Ce sont des lutteurs privés de leur passion qui ont manifesté dans les rues de Dakar ».
Selon lui, « beaucoup d'entre eux étaient dans les écuries de lutte. Qu’est-ce que cela signifie ? Toute la semaine, ils s’entraînent, que ce soit en salle ou au bord de la mer. Le week-end, ils combattent dans les stades, ce qui leur permettait non seulement de se défouler, mais aussi de gagner leur vie. Or, ils en ont été privés depuis un an », avait-il expliqué sur la chaîne française.