Le match de la deuxième journée de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), opposant l’ASC Jaraaf de Dakar à l’USM Alger, a dégénéré ce dimanche au stade Abdoulaye-Wade. Malgré un résultat nul (0-0), les incidents en tribunes ont terni la rencontre, transformant une fête sportive en scène de désordre.
Dès les premières minutes, les tensions montent dans les gradins. Une petite délégation de supporters algériens attire l’attention en allumant des fumigènes et des pétards, transformant les tribunes en véritable scène de provocation. Malgré plusieurs interventions diplomatiques des forces de l’ordre leur demandant d’éteindre les fumigènes, ces supporters persistent, allant jusqu’à poser des engins enflammés sur les sièges en caoutchouc.
Les policiers, visiblement soucieux d’éviter un incident diplomatique, tentent de désamorcer la situation avec calme. Mais la provocation atteint son paroxysme à l’heure de jeu, lorsque les supporters algériens ignorent à nouveau les consignes et continuent leur comportement destructeur.
Des affrontements éclatent après le coup de sifflet final
À la fin de la rencontre, la situation dégénère. Les supporters algériens, détruisant des chaises et insultant les policiers, se croient intouchables. C’est alors que des supporters du Jaraaf, observant la scène, interviennent pour réagir à ce qu’ils perçoivent comme un manque de respect envers les forces de l’ordre. La confrontation devient rapidement incontrôlable, entraînant des échauffourées dans les gradins. Malheureusement, certains joueurs algériens, en tentant de calmer les tensions, se retrouvent blessés.
En conférence de presse, l’entraîneur de l’USM Alger, Nabil Maâloul, a exprimé son amertume face aux événements. « Nous sommes très déçus par ce qui s’est passé. Tout s’était bien déroulé jusqu’à la fin du match, mais ensuite, la situation a dégénéré. Nous déplorons 15 blessés, dont certains dans un état grave », a-t-il déclaré, visiblement affecté.
Les tensions se poursuivent même durant cette rencontre avec les médias. Un incident éclate lorsque un officiel de la CAF empêche un journaliste arabophone de poser une question en arabe, ce qui provoque l’indignation de Nabil Maâloul. « Je peux répondre en arabe comme en français. Quel est le problème ? », s’insurge le technicien tunisien, dénonçant ce qu’il considère comme une entrave à la liberté d’expression.
Un résultat décevant pour le Jaraaf mais un espoir intact
Sur le plan sportif, l’ASC Jaraaf a enregistré son premier point dans cette phase de groupes, après une défaite inaugurale contre l’ASEC Mimosas (0-2). Bien qu’ils soient restés solides en défense, les « Vert et Blanc » n’ont pas su concrétiser leurs occasions face à l’USM Alger, champion d’Afrique en titre et favori de la compétition.
Malgré ce nul frustrant, le Jaraaf reste en course dans une poule C encore ouverte. L’objectif reste de se relancer et d’espérer une qualification pour les phases finales.
Dès les premières minutes, les tensions montent dans les gradins. Une petite délégation de supporters algériens attire l’attention en allumant des fumigènes et des pétards, transformant les tribunes en véritable scène de provocation. Malgré plusieurs interventions diplomatiques des forces de l’ordre leur demandant d’éteindre les fumigènes, ces supporters persistent, allant jusqu’à poser des engins enflammés sur les sièges en caoutchouc.
Les policiers, visiblement soucieux d’éviter un incident diplomatique, tentent de désamorcer la situation avec calme. Mais la provocation atteint son paroxysme à l’heure de jeu, lorsque les supporters algériens ignorent à nouveau les consignes et continuent leur comportement destructeur.
Des affrontements éclatent après le coup de sifflet final
À la fin de la rencontre, la situation dégénère. Les supporters algériens, détruisant des chaises et insultant les policiers, se croient intouchables. C’est alors que des supporters du Jaraaf, observant la scène, interviennent pour réagir à ce qu’ils perçoivent comme un manque de respect envers les forces de l’ordre. La confrontation devient rapidement incontrôlable, entraînant des échauffourées dans les gradins. Malheureusement, certains joueurs algériens, en tentant de calmer les tensions, se retrouvent blessés.
En conférence de presse, l’entraîneur de l’USM Alger, Nabil Maâloul, a exprimé son amertume face aux événements. « Nous sommes très déçus par ce qui s’est passé. Tout s’était bien déroulé jusqu’à la fin du match, mais ensuite, la situation a dégénéré. Nous déplorons 15 blessés, dont certains dans un état grave », a-t-il déclaré, visiblement affecté.
Les tensions se poursuivent même durant cette rencontre avec les médias. Un incident éclate lorsque un officiel de la CAF empêche un journaliste arabophone de poser une question en arabe, ce qui provoque l’indignation de Nabil Maâloul. « Je peux répondre en arabe comme en français. Quel est le problème ? », s’insurge le technicien tunisien, dénonçant ce qu’il considère comme une entrave à la liberté d’expression.
Un résultat décevant pour le Jaraaf mais un espoir intact
Sur le plan sportif, l’ASC Jaraaf a enregistré son premier point dans cette phase de groupes, après une défaite inaugurale contre l’ASEC Mimosas (0-2). Bien qu’ils soient restés solides en défense, les « Vert et Blanc » n’ont pas su concrétiser leurs occasions face à l’USM Alger, champion d’Afrique en titre et favori de la compétition.
Malgré ce nul frustrant, le Jaraaf reste en course dans une poule C encore ouverte. L’objectif reste de se relancer et d’espérer une qualification pour les phases finales.